Month: mars 2013

RENDRE GRÂCES EN TOUTES CHOSES

Ma fille est allergique aux cacahouètes. Elle y réagit si fortement que de manger le moindre morceau mettrait sa vie en péril. Résultat : nous examinons minutieusement les étiquettes d’emballages alimentaires. Nous avons toujours avec nous une seringue remplie d’un médicament (contre les réactions allergiques) partout où nous allons. Et lorsque nous mangeons au restaurant, nous téléphonons à l’avance pour interroger le personnel au sujet du menu.

D’UNE GÉNÉROSITÉ INOUÏE

Lorsque j’étais pasteur d’une petite église, nous avons affronté une crise énorme. À moins de parvenir à effectuer les grandes rénovations nécessaires pour conformer le bâtiment aux normes de sécurité en vigueur, nous allions perdre notre lieu d’adoration. Une campagne désespérée de financement a permis de payer ces rénovations, mais de tout l’argent recueilli, il y a un don en particulier qui a capté l’attention de nos leaders.

DES AMIS QUI PRIENT

J’ai mangé un midi avec mon amie Angie. Il y avait plusieurs mois que je ne l’avais plus vue. À la fin de notre rencontre, elle m’a sorti une feuille de papier sur laquelle apparaissaient les notes qu’elle avait prises durant notre rencontre précédente. C’était la liste de mes requêtes de prière, en fonction desquelles elle avait prié depuis lors. En les lisant les unes après les autres, elle m’a demandé si Dieu y avait déjà répondu ou si la situation progressait. Puis nous avons discuté de ses requêtes de prière. Comme c’est encourageant d’avoir une amie qui prie !

L’ÉQUIPE DE JÉSUS

D’une manière peu orthodoxe, les Athletics d’Oakland se sont bâti en 2002 une équipe de baseball gagnante. L’équipe venait de perdre trois excellents joueurs et n’avait pas les moyens d’engager de joueurs vedettes. Son directeur-gérant, Billy Beane, s’est servi de statistiques souvent négligées pour former un groupe de joueurs moins connus, n’étant plus « de la première jeunesse » ou que les autres équipes ne jugeaient pas assez bons pour les repêcher. Or, cette équipe incongrue a remporté vingt matchs de suite, jusqu’à gagner le championnat de sa division et 103 matchs en tout.

AU BORD

Aux jardins Frederik Meijer, à Grand Rapids, au Michigan, les papillons éclosent dans un paradis tropical intérieur qui répond parfaitement à leurs besoins. La température y est idéale. L’humidité y est parfaite. La teneur calorifique et nutritionnelle de leur habitat y est totalement équilibrée, afin de les garder en bonne santé. Ils n’ont aucun besoin d’aller ailleurs. Cependant, certains papillons voient le ciel azuré et lumineux hors du conservatoire et passent leurs journées à voltiger à proximité du plafond de verre, bien loin de l’abondance de nourriture.

DES VOITURES TAMPONNEUSES

La vie ressemble beaucoup aux « voitures tamponneuses ». On monte à bord de l’une de ces voitures, sachant que l’on se fera emboutir… mais sans connaître la force de l’impact. Lorsque l’on se fait frapper, on appuie sur l’accélérateur, on pourchasse la personne responsable dans l’espoir d’emboutir sa voiture plus fort qu’elle ne l’a fait.

LOISIRS FORCÉS

L’une de mes amies a appris, peu avant un certain Noël, qu’elle avait la leucémie et qu’elle devait tout de suite commencer la chimiothérapie. À peine quelques semaines plus tôt, Kim avait dit à des amis combien elle se sentait bénie et heureuse d’avoir une famille aimante, une maison confortable et un nouveau petit-fils. À son entrée à l’hôpital, elle a demandé à Jésus de lui faire sentir sa présence et de se tenir près d’elle.

ON NOUS OBSERVE

Plusieurs décennies se sont écoulées depuis qu’un certain événement m’a anéanti lorsque je fréquentais le lycée. Les sports comptaient alors au plus haut point pour moi. Je me consacrais en particulier au basketball, auquel je me suis entraîné pendant des centaines d’heures. Quand j’ai appris que l’on ne m’avait pas choisi dans l’équipe en terminale, moi qui en avais fait partie depuis mon entrée au lycée, j’en ai été consterné.

UNE SIMPLICITÉ RAFRAÎCHISSANTE

La simplicité de ma mère compte parmi les choses qui me plaisent le plus en elle. Je lui ai téléphoné maintes fois pour connaître son opinion sur diverses questions, et elle m’a toujours dit : « Ne me demande pas mon opinion à moins de vouloir la connaître. Je ne vais pas chercher à deviner ce que tu voudrais entendre. Je vais te dire exactement ce que je pense. »

UN HOMME BON

Jerry était un homme bon , a déclaré le pasteur durant le service funèbre de Jerald Stevens. « Il aimait sa famille. Il est resté fidèle à sa femme. Il a servi son pays sous les drapeaux. C’était un excellent père et grand-père. C’était aussi un ami formidable. »