Month: novembre 2014

L’HONNEUR D’ÊTRE DISCIPLE

En visitant Jérusalem, un de mes amis a vu un vieux rabbin passer près du mur des Lamentations. Il a alors remarqué un fait intéressant au sujet de ce vieux rabbin : cinq jeunes hommes marchaient derrière lui. Ils marchaient eux aussi le dos courbé, en boitant, exactement comme leur rabbin. Un Juif orthodoxe qui les observerait saurait précisément pourquoi ils imitaient leur enseignant. C’étaient des « disciples ».

La nourriture qui satisfait

Pourquoi travaillez-vous ? Cette question fait partie d’une enquête sur le style de vie, pour déterminer le bonheur des travailleurs. Si vous croyez que ma réponse reflète un point de vue grandiose et altruiste sur la façon dont mon travail contribue à la croissance économique de la société, vous serez grandement déçu. La réponse que j’ai donnée est celle-ci : je travaille pour survivre, pour nourrir ma famille. Que vous soyez un PDG ou un étudiant employé à temps partiel, vous travaillez essentiellement pour payer votre prochain repas. C’est direct, mais c’est réel. La faim vient par vagues répétées. Cela n’a pas d’importance si vous avez bien mangé aujourd’hui. Vous aurez encore faim demain. « Celui qui travaille, travaille pour lui, car sa bouche l’y excite » (Pr 16.26).

DÉMOLIR LE MUR

On a donné aux années qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale le nom de Guerre froide, tandis que des pays ont échangé des menaces et ont manœuvré pour s’approprier le pouvoir. Construit en août 1961, le mur de Berlin est resté debout pendant près de trois décennies, tenant lieu d’un des symboles les plus puissants de l’animosité qui couvait. Puis, le 9 novembre 1989, on a annoncé que des citoyens pouvaient passer librement de Berlin Est à Berlin Ouest. On a entièrement démoli le mur l’année suivante.

Ma soeur la sagesse

Ma soeur jumelle et moi sommes très proches. Nous avons étudié dans les mêmes écoles et nous partageons beaucoup de choses en commun ; notre chambre, notre garde-robe et le plus important, notre foi. Mis à part Dieu, personne ne me connaît mieux qu’elle.

DES ORANGES OU DU LAIT ?

Lorsque j’ai dit à ma fillette que l’on allait recevoir la visite chez nous d’un poupon de trois mois, elle en a été ravie. Avec le sens de l’hospitalité d’une enfant, elle a proposé que nous partagions de notre nourriture avec le bébé ; elle s’est dit qu’il aimerait peutêtre manger une des oranges juteuses qu’il y avait dans le bol sur le comptoir de la cuisine. Je lui ai alors expliqué que le poupon ne pouvait boire que du lait, mais que les oranges lui plairaient peut-être lorsqu’il serait plus vieux.

Bonne action, mauvais motif

Un soir où je prêchais, un homme atteint d’une maladie mentale est entré dans l’église et a marché vers moi. Il m’a ensuite giflé, a fait tomber la chaire et a semé un mouvement de panique dans l’assemblée. Par mesure de protection, un membre de l’Église, nommé Gary, s’est avancé vers l’homme alors que ce dernier se précipitait vers lui et sa femme.

MULTIPLIE-LE

Il y avait cinq ans qu’Amy luttait contre le cancer. Le médecin lui a alors annoncé que les traitements ne fonctionnaient pas et qu’il ne lui restait plus que quelques semaines à vivre. Comme elle désirait mieux comprendre et avoir une plus grande assurance quant à l’éternité, Amy a posé une question à son pasteur : « À quoi ressemblera le ciel ? »

« Il est parti »

J’ai fait l’expérience heureuse et déchirante de perdre mon père le jour de son anniversaire, le 6 janvier 2012. Notre perte a été réellement son gain ! Il a été aux prises avec une santé qui s’est détériorée rapidement avant que Dieu ne l’accueille chaleureusement à la maison.

CHEVAUX VAPEUR

Réfléchissez un instant à la puissance, à la beauté et à la majesté d’un cheval au galop. Sa tête bien haute, sa crinière au vent et ses pattes travaillant à l’unisson afin de lui procurer vitesse, puissance et abandon.

Saluer à trois doigts

Savez-vous comment saluer à « trois doigts » ? C’est très simple. Vous levez la main et vous joignez votre petit doigt à votre pouce. Les trois autres doigts représentent le Père, le Fils et le Saint-Esprit. On peut utiliser ce signe pour entrer en contact avec d’autres chrétiens « lorsque la communion fraternelle verbale n’est pas possible » a dit le créateur du signe, Mark Mitchum. Il espère que ce signal permettra [aux chrétiens] de tisser des liens entre eux l’instant de quelques secondes, et favorisera la fraternisation et les encouragements.