Quand on a demandé au grand physicien Albert Einstein s’il croyait en Dieu, il a répondu : « Nous sommes comme un petit enfant entrant dans une énorme bibliothèque. Les murs sont couverts jusqu’au plafond de livres dans diverses langues. L’enfant sait que quelqu’un doit avoir écrit ces livres. Il ne sait pas qui ni comment. […] Là, il me semble, est l’attitude même de la plupart des êtres humains intelligents envers Dieu. Nous voyons l’univers arrangé merveilleusement et obéissant à certaines lois, mais nous comprenons vaguement ces lois. » Même si Einstein s’émerveillait devant le dessein qu’il voyait dans la nature, il ne croyait pas en un Créateur personnel.
Le psalmiste partage le sentiment d’émerveillement d’Einstein devant la nature, mais fait un pas de plus en croyant au Créateur qui se tient derrière la création : « Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue manifeste l’oeuvre de ses mains » (Ps 19.2).
L’émerveillement que nous éprouvons en contemplant l’univers devrait être comme un panneau de signalisation indiquant celui qui l’a créé. L’Écriture nous dit : « Toutes choses ont été faites par [Christ], et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans [lui] » (Jn 1.3).
Vous débattez-vous avec vos croyances ? Regardez les étoiles cette nuit. Dans le ciel se trouve un merveilleux panneau de signalisation indiquant le Créateur derrière la création. – H.D.F.