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Articles by Amy Boucher Pye

Se confier en Dieu dans le chagrin

Lorsque « Papa John » a appris qu’il était en phase terminale du cancer, lui et sa femme, Carol, ont senti que Dieu les appelait à raconter leur parcours de maladie en ligne. Convaincus que Dieu œuvrerait au moyen de leur vulnérabilité, ils ont partagé leurs moments de joie et de tristesse, ainsi que de douleur durant deux ans.

Un temps pour toute chose

Durant un vol, récemment, j’ai observé une mère assise avec ses enfants quelques rangées devant moi. Tandis que son bambin s’amusait d’un air heureux, la mère regardait dans les yeux de son nouveau-né en lui souriant et en lui caressant la joue. Son bébé lui rendait son regard avec de grands yeux émerveillés.

Un jour pour se reposer

Un certain dimanche, je me tenais près du ruisseau gargouillant qui traversait notre quartier du nord de Londres à savourer la beauté qu’il apporte à notre zone plutôt urbanisée. Je me sentais détendue en regardant cascader l’eau et en écoutant les oiseaux gazouiller. Je me suis interrompue le temps de remercier le Seigneur pour les moyens qu’il emploie afin de nous aider à trouver le repos de notre âme.

La foi en action

Se rendant en voiture à l’épicerie, une de mes amies a remarqué une femme qui marchait le long de la route. Mon amie s’est alors sentie poussée à faire demi‑tour pour lui offrir de la prendre à bord. Puis elle s’est attristée d’entendre sa passagère lui dire qu’elle n’avait pas les moyens de prendre l’autobus, ce qui l’obligeait à rentrer chez elle en parcourant à pied de nombreux kilomètres par une chaleur et une humidité étouffantes. Non seulement devait‑elle faire tout ce chemin pour rentrer chez elle, mais encore elle avait également marché plusieurs heures ce matin‑là pour arriver au travail à quatre heures.

Le lien de la paix

J’ai envoyé à une amie un courriel de reproches au sujet d’une question sur laquelle nous divergions d’opinion, mais elle n’y a jamais répondu. Avais‑je dépassé les bornes ? Je ne voulais pas aggraver la situation en insistant, pas plus que je ne voulais la voir partir en voyage outre-mer avant que notre différend se soit résolu. Chaque fois qu’elle me venait à l’esprit au cours des jours suivants, j’ai prié pour elle, sans trop savoir par quel moyen rétablir notre relation. Puis un matin, je suis allée marcher dans le parc de notre quartier et je l’y ai vue. Quand elle m’a aperçue, son visage a trahi sa souffrance. Merci Seigneur de me permettre de lui parler, me suis‑je alors dit. Le souffle un peu court, mais en arborant un sourire accueillant, je me suis approchée d’elle. Nous avons alors discuté à coeur ouvert et nous sommes parvenues à régler notre différend.

La paix parfaite

Une amie m’a avoué avoir recherché la paix et le contentement pendant des années. Elle et son mari avaient bâti une entreprise prospère, ce qui leur avait permis de s’acheter une grande maison, de beaux vêtements et de précieux bijoux. Reste que ces biens matériels ne satisfaisaient pas son désir ardent de paix, pas plus que ses relations avec des gens influents ne l’avaient pu. Puis un jour qu’elle se sentait abattue et désespérée, une amie lui a annoncé la bonne nouvelle de Jésus. C’est alors qu’elle a découvert le Prince de la paix et que, du même coup, sa compréhension de la paix et du contentement véritables a changé pour toujours.

Vêtu par Dieu

Lorsque mes enfants étaient tout petits, ils jouaient dehors dans notre jardin anglais au sol détrempé, où ils ne tardaient pas à être couverts de boue et de terre. Pour leur bien et celui de mon plancher, je retirais leurs vêtements à la porte et les enveloppais dans des serviettes avant de les plonger dans la baignoire. En y mettant savon, eau et câlins, je les faisais vite passer de la saleté à la propreté.

Le Consolateur

En montant à bord d’un avion à destination d’une ville située à des milliers de kilomètres de chez moi pour y étudier, je me sentais nerveuse et seule. Durant le vol, par contre, je me suis rappelé que Jésus avait promis à ses disciples de leur accorder la présence réconfortante du Saint‑Esprit.

À la maison avec Jésus

On n’est jamais mieux que chez‑soi. » Cette expression reflète une soif profonde en nous, qui nous pousse à désirer ardemment avoir un lieu où nous reposer, où vivre et auquel appartenir. Après avoir partagé un dernier repas avec ses amis, Jésus a parlé de sa mort et de sa résurrection imminentes en évoquant le désir d’être enraciné quelque part. Il a promis que, même s’il était sur le point de les quitter, il reviendrait les chercher, sans compter qu’il leur préparerait une place dans la maison du Père, où tous seraient donc chez eux.

Le prix de l’amour

Notre fille a éclaté en sanglots tandis que nous disions au revoir de la main à mes parents. Après être venus nous rendre visite en Angleterre, ils amorçaient maintenant leur long retour à la maison en sol américain. Elle nous a alors dit : « Je ne veux pas qu’ils s’en aillent. » Or, pendant que je la consolais, mon mari lui a fait remarquer : « J’ai bien peur que ce soit le prix de l’amour. »