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Articles by David C. McCasland

Dans tous les âges

Mes parents se sont mariés en 1933 durant la Grande Crise. Ma femme et moi sommes issus du baby‑boom, cette explosion des naissances qui a suivi la Seconde Guerre mondiale. Nos quatre filles, nées dans les années 1970 et 1980, appartiennent aux générations X et Y. Comme elles et nous avons grandi à des époques très différentes, il n’y a rien d’étonnant au fait que nous divergions d’opinions sur de nombreux sujets !

Ce que l'on ramène avec soi

John F. Burns a passé quarante ans à couvrir les événements du monde pour le journal The New York Times. Dans un article ultérieur à son entrée en retraite en 2015, Burns citait un ami intime, lui aussi journaliste, que le cancer était sur le point d’emporter : « N’oublie jamais que l’important n’est pas la distance que tu auras parcourue, mais ce que tu auras ramené. »

Au-delà des étiquettes

Une Église de ma ville s’est dotée d’une carte de bienvenue unique en son genre, qui rend bien l’amour et la grâce de Dieu envers tous.

Puis-je le dire ?

L’impression de favoritisme est souvent l’un des plus grands facteurs de rivalité entre frères et soeurs », selon Barbara Howard, pédiatre spécialisée en développement comportemental (« When Parents Have a Favorite Child » ; nytimes.com). En voici un bon exemple : le Joseph de l’Ancien Testament, qui était le fils préféré de son père. Ce fait rendait furieux ses frères aînés (GE 37.3,4), qui en sont venus à le vendre à des marchands en route vers l’Égypte pour prétendre ensuite qu’un animal sauvage l’avait tué (37.12‑36). Les rêves de Joseph ont alors volé en éclats et son avenir semblait désespéré.

Jouer de concert

Durant le concert de la troupe de l’école de notre petitefille, j’ai été impressionné de voir à quel point ces jeunes de 11 et 12 ans jouaient bien ensemble. Si chacun d’eux avait voulu jouer en solo, il n’aurait pu accomplir individuellement ce que la troupe a accompli collectivement. Les sections ont toutes joué avec brio, ce qui a donné lieu à une musique magnifique !

Rythmes de grâce

Un ami et sa femme, âgés d’un peu plus de 90 ans et mariés depuis 66 ans, ont écrit l’histoire de leur famille pour leurs enfants et les générations à venir. Le dernier chapitre, « A Letter from Mom and Dad » (Une lettre de maman et papa), renferme d’importantes leçons de vie. L’une d’elles m’a amené à faire le bilan de ma propre vie : « Si vous trouvez que le christianisme est épuisant et draine votre énergie, c’est que vous pratiquez une religion plutôt que de jouir d’une relation avec Jésus‑Christ. Votre marche avec le Seigneur ne vous fatiguera pas ; elle vous revigorera, elle renouvellera vos forces et elle dynamisera votre vie » (MT 11.28,29).

Défi de quinze minutes

Charles W. Eliot, qui a été longtemps président de l’université Harvard, était d’avis que quiconque consacrait au moins quelques minutes par jour à la lecture de grandes oeuvres littéraires pouvait acquérir une bonne éducation. En 1910, il a sélectionné des livres d’histoire, de science, de philosophie et d’art qu’il a compilés en un ouvrage de cinquante tomes intitulé The Harvard Classics. Chaque tome thématique incluait le guide de lecture de M. Eliot intitulé Fifteen Minutes A Day (Quinze minutes par jour), qui recommandait pour chaque jour de l’année la lecture de huit à dix pages en particulier.

Tout le nécessaire

Je me sens souvent dépassé par la tâche à accomplir. Qu’il s’agisse d’enseigner à l’école du dimanche, de conseiller un ami ou d’écrire des méditations pour la présente publication, le défi semble toujours plus grand que mes capacités. Comme l’apôtre Pierre, j’en ai beaucoup à apprendre.

Dysfonctionnel

On utilise souvent le mot dysfonctionnel pour décrire les gens, les familles, les relations, les organisations et même les gouvernements. Bien que fonctionnel désigne ce qui est en bon état, dysfonctionnel désigne le contraire : ce qui est cassé, défectueux et incapable d’accomplir ce pour quoi il a été créé.

Préparez l’enfant

On trouve une expression sur de nombreux sites Web réservés au rôle parental : « Préparez l’enfant à la route, et non la route à l’enfant. » Au lieu de chercher à éliminer tous les obstacles et à paver la voie à tous les enfants de notre entourage, nous devrions leur apprendre à composer avec les difficultés auxquelles ils se buteront chemin faisant.