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Articles by Marlena Graves

D’accablé à triomphant

Parfois, le problème du mal m’accable. Je regarde les actualités et je vois les atrocités qui sont commises à l’égard des innocents (PS 73.3‑16). Je constate que certains des habitants de ma ville, de mon pays et du monde n’ont rien à manger ou n’ont pas accès à des soins médicaux de qualité. Des gens sont sévèrement touchés par des catastrophes naturelles. Des enfants sont victimes de paroles et d’actes cruels. Des guerres éclatent et produisent des effets dévastateurs. Puis on m’apprend qu’un enfant ou un jeune que je connais est décédé avant qu’il ait pu réellement goûter à la vie, que des familles de mon entourage ont éclaté et que certains de mes amis vivent des difficultés financières graves.

Plutôt curieux

Sans moi vous ne pouvez rien faire.

Que t’importe ?

Pour tout le bien que Facebook, Twitter et Instagram peuvent nous faire, comme de nous permettre de garder le contact avec notre famille et nos amis, ces médias sociaux peuvent aussi être des pierres d’achoppement. Une de mes amies a commencé à limiter le temps qu’elle passe sur les médias sociaux après s’être aperçue que la vie de ses amis virtuels la captivait de plus en plus. Eh oui ! En suivant ses amis sur Facebook, Twitter et Instagram, elle est devenue indiscrète ; mais elle n’est pas la seule.

Non selon nos plans

En 1915, l’Église de M. Frank Laubach, Ph. D., l’envoie à Manille aux Philippines où il sera missionnaire et professeur au Union Theological Seminary. Une fois là-bas, il entre en lice, ainsi qu’un autre homme, pour occuper le poste de président du séminaire. Le nouveau président sera choisi à la suite d’un vote. M. Laubach fait ce qu’il croit honorable en votant pour son adversaire. Malheureusement, il perd l’élection par un vote – le sien. Déçu et déprimé, il doute même de Dieu. Toutefois, Dieu utilisera cet incident pour rediriger sa vie. Plus tard, M. Laubach mettra sur pied un programme d’alphabétisation qui permettra à environ 60 millions de personnes d’apprendre à lire.

Où nous sommes

J’ai pris une journée de congé de mon travail afin de jouir du silence et de la solitude dont j’avais grandement besoin. Je menais une vie bien remplie grâce à ma famille, à mes amis et à un ministère dans l’Église. J’avais de nombreuses raisons d’être reconnaissante, mais intérieurement, je me débattais – et je voulais en parler à Dieu.