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Articles by Marvin Williams

Nous avons un Prêtre

L’auteur William Willimon a raconté la fois où il a rencontré une femme atteinte d’un cancer, aux derniers moments de sa vie. Épuisée à force de se battre contre cette maladie, elle s’est cramponnée au crucifix qu’elle avait reçu de sa grandmère lorsqu’elle était fillette. C’était un symbole de ce que Jésus représentait pour elle. Lorsque Willimon est entré dans la chambre, il lui a demandé s’il devait faire venir un prêtre. La femme lui a tendu le crucifix qui arborait le corps de Jésus cloué sur la croix et elle a dit : « Merci, mais j’ai un Prêtre. »

Jalousie et générosité

Thomas J. DeLong, un professeur de la Harvard Business School a remarqué une tendance inquiétante parmi ses étudiants et collègues : l’obsession de la comparaison. Il a écrit : « Les chefs d’entreprise, les analystes de Wall Street, les médecins et autres professionnels sont obsédés par la comparaison de leurs réussites avec celles des autres [...] J’ai interviewé des centaines de professionnels ayant un grand besoin d’accomplissement au sujet de ce phénomène et je me suis rendu compte que la comparaison est devenue presque une épidémie. C’est mauvais pour les individus et pour les entreprises [et cela diminue la satisfaction]. » (Traduction libre) C’est particulièrement mauvais pour les croyants en Jésus.

Le péché mécontent

L’essayiste Joseph Epstein a écrit : « Des sept péchés capitaux, seule l’envie n’a rien de réjouissant. » Il a poursuivi en affirmant qu’elle nous fait paraître « cupide, méchant et avare » (Traduction libre). Beaucoup de recherches soutiennent l’affirmation d’Epstein. En fait, les psychologues ont découvert que l’envie réduit la satisfaction et le bien-être en plus d’être associée à la dépression et à la névrose. L’hostilité qui en découle peut même nous rendre malade physiquement.

Libéré du stress

Selon l’American Institute of Stress, les maladies liées au stress coûtent à l’économie américaine 300 milliards de dollars par année en factures médicales et en pertes de production. Quarante pourcent des Américains sont plus stressés qu’ils ne l’étaient il y a cinq ans. Les relations familiales, les défis au travail et même les études sont quelques-uns des facteurs de stress qui pèsent sur les citoyens.

Rendre la honte honteuse

J’ai mouillé mon lit jusqu’à l’âge de 12 ans. Il est difficile d’exprimer l’agonie ressentie lors de ces moments où vous vous réveillez au milieu de la nuit et que vos vêtements et vos draps sont mouillés. Honteux, je me dépêchais silencieusement de changer mes draps et mes vêtements, tout en faisant de mon mieux pour que rien n’y paraisse. Malgré tout, on le découvrait chaque fois. J’avais l’impression que j’étais un bon à rien, que j’avais échoué et qu’on désapprouvait mon incident.

Contemplez-le

À quand remonte la dernière fois où vous avez passé du temps dans le silence à apprécier la beauté de Dieu ? Un certain artiste chrétien croit que la contemplation de sa beauté est nécessaire à la vie chrétienne. L’auteur Joseph Sunde, dans un article de blog intitulé Beauty on a Bike Ride (La beauté lors d’une promenade à vélo), a cité l’artiste Mako Fujimura : « Peut-être la meilleure chose que nous pourrions faire en tant que communauté chrétienne est de contempler notre Dieu et sa création. »

Périodes de pause

Atul Gawande, dans son livre The Checklist Manifesto (Le manifeste de la liste de contrôle), explique comment les médecins peuvent sauver des vies en utilisant une liste de contrôle pendant une opération.La liste de contrôle de Gawande comprend trois « périodes de pause » cruciales : avant l’anesthésie, avant l’incision et avant de quitter la salle d’opération. Chaque période de pause dure moins d’une minute, assez de temps pour que l’équipe puisse effectuer les vérifications de base. En 2008, huit hôpitaux ont commencé à utiliser la liste de contrôle de Gawande, et en l’espace de quelques mois, le taux de complications majeures a diminué de 35 % et le taux de mortalité de 47 %. Quel remarquable changement ces équipes chirurgicales ont entraîné en prenant le temps de s’arrêter au cours de leurs interventions !

Précipitez-vous vers Jésus

George Whitfield, le prédicateur anglican qui a fait partie du grand réveil des colonies américaines, a déjà dit : « Partez, mes chers frères, courez, courez, courez vers Jésus, courez vers un Dieu qui verse son sang, courez vers le trône de la grâce... suppliez Dieu de vous accorder la foi et de vous permettre d’être proche de Jésus-Christ. » Bien avant que Whitfield encourage les croyants à se précipiter vers Jésus, l’auteur de l’épître aux Hébreux a encouragé les croyants épuisés à s’approcher avec assurance de notre grand souverain sacrificateur (HÉ 4.14).

Courir vers le but

The Amazing Race (Le rallye autour du monde) compte parmi mes émissions de télévision préférées. Dans cette émission de téléréalité, dix couples sont envoyés en pays étranger, où ils doivent participer à une course de lieux en lieux – en train, en autocar, en taxi, à vélo ou à pied –, afin d’y obtenir les instructions qui les conduiront à leur défi suivant. Cette course a pour but d’amener un couple à atteindre une destination finale déterminée avant tous les autres, afin de remporter un prix d’un million de dollars.

Termes bannis

Chaque année, la Lake Superior State University aux États-Unis publie une liste de mots agaçants qui devraient être bannis. Au premier rang de leur liste de 2013 se trouve selfie, un terme qui a reçu plus de nominations qu’aucun autre. Twerking, hashtag et twittersphere sont d’autres termes qui ont reçu beaucoup de votes. Cette liste me rappelle que la langue est en perpétuel changement et qu’elle peut nous persuader, nous impressionner ou nous agacer.