Toucher les pauvres
Il n’y avait rien d’étonnant dans le fait que mère Teresa reçoive le prix Nobel de la paix. Fidèle à elle-même, elle l’a accepté « au nom de ceux qui ont faim, qui sont nus, qui sont sans-abri, qui sont aveugles, qui ont la lèpre, et tous ceux qui se sentent indésirables, indignes d’amour, abandonnés dans toute la société ». Voilà les gens auprès de qui elle a œuvré la majeure partie de sa vie.
La grâce hors des sentiers battus
Tom travaillait pour un cabinet d’avocats qui conseillait l’entreprise de Bob. Ils sont devenus des amis – jusqu’à ce que Tom détourne des milliers de dollars de l’entreprise. Le découvrant, Bob en a été blessé et fâché, mais le vice-président, un croyant en Christ, l’a judicieusement conseillé. Voyant Tom sincèrement honteux et repentant, il a exhorté Bob à abandonner les accusations pesant contre lui et à l’engager : « Verse-lui un salaire modeste pour lui permettre de faire restitution. Tu n’auras jamais employé plus reconnaissant et plus loyal. » Bob l’a fait, et Tom l’est devenu.
Se confier en Dieu dans le chagrin
Lorsque « Papa John » a appris qu’il était en phase terminale du cancer, lui et sa femme, Carol, ont senti que Dieu les appelait à raconter leur parcours de maladie en ligne. Convaincus que Dieu œuvrerait au moyen de leur vulnérabilité, ils ont partagé leurs moments de joie et de tristesse, ainsi que de douleur durant deux ans.
Cultiver le monde de Dieu
Papa, pourquoi est-ce que tu dois aller travailler? » Ma fillette m’a posé cette question parce qu’elle voulait jouer avec moi. J’aurais préféré prendre congé et passer du temps avec elle, mais trop de choses au boulot requéraient mon attention. Il s’agit néanmoins d’une bonne question. Pourquoi travaillons-nous ? Est-ce simplement dans le but de pourvoir à notre subsistance et à celle de nos êtres chers ? Qu’en est-il du travail non rémunéré – pourquoi le faisons-nous ?
Piochez !
Dieu aime utiliser les laissés-pour-compte. William Carey a grandi au xviiie siècle dans un village minuscule où il a reçu très peu d’éducation. Il réussissait mal dans le métier de son choix et il vivait dans la pauvreté. Dieu l’a toutefois amené à se passionner pour l’annonce de la Bonne Nouvelle et l’a appelé à devenir missionnaire. Carey a alors appris le grec, l’hébreu et le latin, et il a fini par traduire le premier Nouveau Testament en bengali. De nos jours, on le considère comme un « père des missions modernes », mais dans une lettre adressée à son neveu, il a offert cette humble évaluation de ses aptitudes : « Je peux piocher. Je peux persévérer. »
Ses cicatrices
Après ma conversation avec Grady, j’ai compris pourquoi il préférait « un poing à poing » plutôt qu’une poignée de main. Celle-ci aurait exposé les cicatrices à son poignet, résultant d’une tentative pour se faire du mal. Il n’est pas rare que nous cachions les blessures – externes et internes – que d’autres nous ont infligées ou nous-mêmes.
Une lueur sur la mer
Voici ce que le journaliste Malcolm Muggeridge a écrit au sujet d’une soirée lamentable alors qu’il travaillait comme espion durant la Seconde Guerre mondiale : « J’étais couché là sur mon lit et complètement bourré. Seul dans l’univers, dans l’éternité, sans la moindre lueur d’espoir. »
Une grâce irrésistible
Alexa, l’appareil à commande vocale d’Amazon, comporte une caractéristique intéressante : il peut effacer tout ce que vous dites. Quoi que vous ayez demandé à Alexa de faire, quelle que soit l’information que vous lui avez demandé de récupérer, une simple phrase (« Supprimer tout ce que j’ai dit aujourd’hui ») l’éliminera en entier. Quel dommage que le reste de notre vie ne comporte pas cette option ! Mauvaises paroles, gestes déplacés, moments regrettables – il suffirait d’en donner la commande pour que tout disparaisse.
Un rôle royal
Plus un membre de la famille royale est proche du trône, plus le public entend parler de lui et en oublie les autres. La soixantaine de membres de la royauté britannique incluent Lord Frederick Windsor, quarante-neuvième dans l’ordre de la succession au trône. Au lieu d’être le centre de l’attention, il vit sa vie tranquille comme analyste financier. Même s’il fait partie de la famille royale, on ne le considère pas comme l’un de ses membres importants.
Comment attendre
Contrarié et déçu par l’Église, le jeune Trevor de dix-sept ans a amorcé une quête de réponses sur une année, mais rien ne semblait le satisfaire. Même si sa quête l’a rapproché de ses parents, le christianisme lui posait encore problème. Durant une discussion, il s’est exclamé avec amertume : « La Bible est remplie de fausses promesses ! »