La décision d’Evie
Evie était du nombre des 25 adolescents américains d’une chorale de lycée à se rendre en Jamaïque pour y chanter, évangéliser et témoigner de l’amour de Dieu à des gens issus d’une culture et d’une génération différentes des leurs.
Ce qui compte le plus
En vieillissant, Jean, le disciple que Jésus aimait, en est venu à centrer de plus en plus ses enseignements sur l’amour divin dans ses trois épîtres. Dans son livre intitulé Knowing the Truth of God’s Love (Connaître la véracité de l’amour divin), Peter Kreeft cite une vieille légende selon laquelle un des jeunes disciples de Jean serait venu un jour se plaindre ainsi à lui : « Pourquoi ne parles‑tu de rien d’autre ? » Ce à quoi Jean aurait répondu : « Parce qu’il n’y a rien d’autre. »
Tout nous vient de Dieu
J’avais 18 ans lorsque j’ai obtenu mon premier emploi à temps plein. J’ai alors appris une importante leçon au sujet de la discipline consistant à faire des économies. J’ai travaillé et économisé jusqu’à avoir assez d’argent pour toute une année d’école. Puis ma mère a dû se faire opérer d’urgence, et j’ai compris que j’avais à la banque de quoi payer son opération.
Elle a fait ce qu’elle a pu
Lorsque ses amis disent des choses blessantes ou grotesques sur les médias sociaux, Charlotte s’y oppose avec douceur, mais aussi avec fermeté. Elle respecte tout le monde, et ses paroles sont toujours positives.
La note de la grâce
Avec ses yeux bleus illuminés de joie, mon fils m’a montré un papier qu’il avait rapporté de l’école. C’était un test de mathématiques portant une étoile rouge et la note 100 %. En regardant sa feuille d’examen avec moi, il m’a dit qu’il avait encore trois questions auxquelles répondre lorsque son institutrice avait indiqué qu’il ne lui restait plus de temps. Perplexe, je lui ai demandé comment il avait pu alors recevoir une note parfaite. Il m’a répondu : « Mon institutrice m’a donné la note de la grâce. Elle m’a laissé finir le test même si je manquais de temps. »
La bulle éclate
En passant à côté de nous sur la promenade de bois d’Atlantic City, un jeune garçon nous a arrosés de bulles. Mon mari, Carl, et moi étions venus dans cette ville pour rendre visite à notre beau‑frère hospitalisé et pour conduire la soeur de Carl chez le médecin lorsque nécessaire. En marchant le long de la côte ce jour‑là, nous nous sentions un peu dépassés par les besoins de notre famille.
Faire ce qu’il demande
Comme j’avais besoin d’un réservoir souterrain et que je savais très bien comment je voulais qu’il soit fabriqué, j’ai donné des instructions claires à son fabricant. Le lendemain, en l’inspectant, j’ai constaté avec contrariété qu’il n’avait pas suivi mes directives. Il avait modifié le plan de travail, qui avait donc changé le résultat escompté. Or, le prétexte qu’il m’a fourni s’est avéré aussi contrariant que ce constat.
Une bonne imitation
Aujourd’hui, nous allons jouer à un jeu appelé Imitation », a annoncé notre pasteur des enfants aux tout‑petits rassemblés autour de lui. « Je vais nommer quelque chose et vous allez l’imiter. Prêts ? Poulet ! » Les enfants se sont alors fait aller les bras, en caquetant et en croassant. Puis il y a eu l’éléphant, le footballeur et la ballerine, en terminant par Jésus. Même si de nombreux enfants ont hésité, un tout‑petit de six ans a néanmoins immédiatement jeté les bras grands ouverts avec le sourire fendu jusqu’aux oreilles. Toute l’assemblée l’a applaudi.
Comment sculpter un canard
Ma femme, Carolyn, et moi avons rencontré Phipps Festus Bourne en 1995 dans son atelier de Mabry Hill, en Virginie. Bourne, qui est mort en 2002, était un grand artiste dont les sculptures sont presque des répliques exactes de véritables objets. « C’est facile de sculpter un canard, disait‑il, il suffit de regarder un bout de bois en imaginant à quoi ressemble un canard, puis d’éliminer tout ce qui n’y ressemble pas. »
La prière que tu m’as adressée
Comment gérez-vous vos inquiétudes ? Les tournez‑vous vers l’intérieur ou vers le ciel ?