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Une raison de sourire

Au travail, les paroles d’encouragement comptent. La façon dont les employés parlent entre eux influence la satisfaction des clients, la rentabilité de l’entreprise et l’estime d’autrui. Des études ont démontré que les membres des équipes les plus efficaces s’expriment réciproquement six fois plus de paroles d’affirmation que de désapprobation, de désaccord et de sarcasmes. Les équipes les moins efficaces ont tendance à émettre près de trois remarques négatives pour chaque parole constructive.

Dans l’amour de Jésus

Dans l’amour de Jésus. Il a terminé son courriel avec ces mots. En les lisant, j’ai compris à quel point ils sont émouvants. Le jeune homme, que j’avais vu faire profession de foi en Jésus, que j’avais baptisé et dont la foi grandissait, était retourné chez lui pour un séjour dans son pays natal où les habitants ne sont pas reconnus pour leur gentillesse envers les croyants en Jésus. Il a mentionné qu’on lui avait fait de « gros yeux » alors qu’il priait avant son repas dans un restaurant, que ses amis étaient froids à l’égard de sa foi et qu’il se sentait seul. J’ai donc fait tout mon possible pour l’encourager en lui écrivant : « Je suis si fier de toi. Dieu t’utilise pour répandre sa présence dans ta ville ! »

L’Évangile viral

Dans le cadre du projet Viral Texts, la Northeastern University, à Boston, étudie comment le contenu imprimé dans les années 1800 s’est répandu par le truchement des journaux – réseau des médias sociaux de l’époque. On a découvert que, pour l’ère industrielle, l’article réimprimé 50 fois ou plus était considéré comme « viral ». Or, dans le magazine Smithsonian, Britt Peterson a fait remarquer qu’un bulletin de nouvelles du XIXe siècle indiquant quels disciples de Jésus ont été exécutés pour leur foi avait paru dans au moins 110 publications différentes.

En toutes choses

Dans le quartier, nous critiquons les pannes d’électricité incessantes. Elles peuvent se produire jusqu’à trois fois par semaine et durer jusqu’à vingt‑quatre heures. L’impossibilité d’utiliser les appareils ménagers rend les choses pénibles.

Le temps d’une courte sieste

Henry Durbanville, un pasteur écossais d’une autre région, raconte l’histoire d’une aînée de sa paroisse qui vivait dans un lieu éloigné de l’Écosse. Elle désirait ardemment voir la ville d’Édimbourg, mais elle redoutait de faire le trajet, car le train qui l’y conduirait devait emprunter un long tunnel sombre.

Y sommes‑nous obligés ?

Joie a démarré le programme pour enfants dans la prière, puis a chanté avec ses tout‑petits. Emmanuel, six ans, s’est agité sur sa chaise lorsqu’elle a prié après avoir présenté Aaron, le professeur. Puis Aaron a commencé et terminé son exposé en prière. Emmanuel s’en est alors plaint : « Ça fait quatre prières ! Je peux pas rester sans bouger aussi longtemps ! »

Continuez comme ça !

Mon fils aime beaucoup la lecture. S’il lit plus de livres que son école l’exige de lui, il reçoit un certificat de mérite. Ce petit encouragement le motive à continuer comme ça.

Une bonne imitation

Aujourd’hui, nous allons jouer à un jeu appelé Imitation », a annoncé notre pasteur des enfants aux tout‑petits rassemblés autour de lui. « Je vais nommer quelque chose et vous allez l’imiter. Prêts ? Poulet ! » Les enfants se sont alors fait aller les bras, en caquetant et en croassant. Puis il y a eu l’éléphant, le footballeur et la ballerine, en terminant par Jésus. Même si de nombreux enfants ont hésité, un tout‑petit de six ans a néanmoins immédiatement jeté les bras grands ouverts avec le sourire fendu jusqu’aux oreilles. Toute l’assemblée l’a applaudi.

Pleins d’espérance

J’ai pris ses mains noires, usées, dans les miennes, et nous nous sommes recueillis pour prier. Les expériences de vie de ce concierge et les miennes se sont entrecroisées dans mon petit bureau de professeur, cette semaine. Sa mère avait été malade depuis quelque temps, et la maladie, contenue jusque-là, s’était propagée dans tout son corps. Confiants en la capacité de Dieu de la guérir, nous l’avons prié qu’il restaure son corps ; nous lui avons également demandé qu’il accorde à ses proches le miracle du réconfort qui transcende la mort. Ce soir, son fils est assis à son chevet et sait qu’il aura bientôt à lui dire adieu. Enfin, pour l’instant. Les souvenirs, les derniers mots. La mort n’est jamais facile, même lorsque nous avons des mois pour nous y préparer. Nous faisons tout notre possible pour nous accrocher à nos êtres chers un peu plus longtemps parce que, même pour le croyant, la séparation que produit la mort semble permanente à la lumière de notre chagrin. Nous avons été conçus pour l’éternité ; nous n’avons pas été faits pour connaître la perte.

Poursuivez votre ascension !

Richard avait besoin d’un coup de pouce, et on lui en a fourni un. Il escaladait des rochers avec son ami Kevin, qui servait d’assureur (la personne chargée de sécuriser la corde). Épuisé et prêt à renoncer, Richard a demandé à Kevin de le redescendre au sol. Kevin l’a toutefois exhorté à continuer, en lui indiquant qu’il s’était rendu trop loin pour abandonner maintenant. Suspendu dans les airs, Richard a alors décidé de persévérer. Chose étonnante, il est parvenu à reprendre le contact avec le rocher et à achever son ascension en raison de l’encouragement de son ami.