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RENDRE GRÂCES EN TOUTES CHOSES

Ma fille est allergique aux cacahouètes. Elle y réagit si fortement que de manger le moindre morceau mettrait sa vie en péril. Résultat : nous examinons minutieusement les étiquettes d’emballages alimentaires. Nous avons toujours avec nous une seringue remplie d’un médicament (contre les réactions allergiques) partout où nous allons. Et lorsque nous mangeons au restaurant, nous téléphonons à l’avance pour interroger le personnel au sujet du menu.

DES AMIS QUI PRIENT

J’ai mangé un midi avec mon amie Angie. Il y avait plusieurs mois que je ne l’avais plus vue. À la fin de notre rencontre, elle m’a sorti une feuille de papier sur laquelle apparaissaient les notes qu’elle avait prises durant notre rencontre précédente. C’était la liste de mes requêtes de prière, en fonction desquelles elle avait prié depuis lors. En les lisant les unes après les autres, elle m’a demandé si Dieu y avait déjà répondu ou si la situation progressait. Puis nous avons discuté de ses requêtes de prière. Comme c’est encourageant d’avoir une amie qui prie !

DE PLUS EN PLUS

Il y a un cri de ralliement que nous entendons souvent aujourd’hui dans notre monde en crise économique : « De moins en moins ! » Les gouvernements sont appelés à équilibrer leur budget. Les gens sont exhortés à utiliser moins d’énergie et à réduire leur consommation de ressources limitées. Ce conseil judicieux, nous devrions tous le suivre. Dans le domaine de la foi, cependant, l’amour, la grâce et la force ne s’épuisent jamais. En tant que disciples de Christ, nous sommes donc appelés à témoigner toujours plus de son amour dans notre vie.

RENDEZ GRÂCES

À Lansing, Michigan, durant l’hiver, les journées ensoleillées se font rares ; mais Dieu nous a bénis l’année dernière en nous accordant une de ces merveilleuses journées et presque tout le monde semblait en remercier Dieu, sauf moi. Alors que je quittais le bureau, un homme m’a dit : « Quelle belle journée nous avons là ! C’est le don de Dieu ! » Je lui ai répondu : « Oui, mais nous aurons de la neige plus tard cette semaine. » Quelle ingratitude !

UNE ÉGLISE QUI FONCTIONNE

Ma femme, Shirley, et moi avons célébré notre 50e anniversaire de mariage en faisant une croisière le long des fjords de la Norvège. En voyageant vers le nord, nous avons fait escale dans de nombreux villages et petites villes, souvent pour y visiter des églises. Parmi celles-ci se trouvait une église datant du xiie siècle que notre guide a fièrement décrite comme une « Église qui fonctionne encore ». Je lui ai alors demandé : « Que voulez-vous dire ? » Elle a évoqué l’époque de l’Église d’État, où les pasteurs nommés par l’État se contentaient d’encaisser leurs chèques de paie sans que personne n’assiste aux services. Par contre, cette Église tenait fidèlement des services d’adoration et servait activement le Seigneur depuis près de mille ans !

TOUJOURS

Les mots toujours et jamais me plaisent énormément. Ils procurent tellement d’espoir ! J’aimerais croire que je pourrai toujours être heureux et que la vie ne me décevra jamais . Cependant, la réalité m’indique que je ne serai pas toujours heureux et que les choses que j’espère ne jamais voir se produire risquent justement d’arriver. Si agréables ces mots puissent-ils sembler, ils ont du mal à être à la hauteur de leur potentiel, à moins que vous ne pensiez à la promesse de la présence de Jésus.

DES CHOIX TRANSFORMATEURS

La décision qu’a prise l’athlète champion Eric Liddell de refuser de courir le dimanche lors des Jeux olympiques de 1924 ne lui a pas été difficile à prendre parce qu’il était profondément convaincu que le jour du Seigneur devait être consacré à l’adoration et au repos.

VERS UNE VIE «FACILE»

Les parents tentent-ils trop de faire le bonheur de leurs enfants ? Et cela produit-il l’effet contraire ? Ces questions servent d’entrée en matière à une entrevue avec Lori Gottlieb, auteur d’un article portant sur de jeunes adultes malheureux. Sa conclusion : Oui. Les parents qui refusent de laisser leurs enfants vivre des échecs ou des chagrins leur donnent une idée fausse du monde et ne les préparent pas bien aux dures réalités de la vie d’adulte. Ces jeunes font l’expérience d’un vide et d’angoisses.

AVEC DIEU TOUTE LA JOURNÉE

Frère Laurence (1614-1691) se sentait intimement près de Dieu lorsqu’il récurait casseroles et poêlons dans la cuisine du monastère. Il consacrait sûrement des moments particuliers à la prière, mais ce qu’il trouvait le plus susceptible de transformer sa vie, c’était la prière au cours de sa journée de travail. Dans son livre de méditation classique intitulé Practicing the Presence of God , il a dit : « Nous nous leurrons grandement si nous croyons que nos temps de prière doivent être différents des autres temps. Nous sommes dans la plus stricte obligation de nous attacher à Dieu tout autant par l’action en période d’action que par la prière en période de prière. » Bref, il nous incitait à « [prier] sans cesse » (1 Th 5.17).

RETROUVAILLES TRÈS ATTENDUES

Enfant, j’avais un colley du nom de Prince Boy, un chien formidable que j’aimais vraiment. Un jour, il a disparu. J’ignorais si on l’avait kidnappé ou s’il s’était simplement enfui ; quoi qu’il en soit, sa disparition m’a dévasté. Je l’ai cherché partout. En fait, l’un de mes plus vieux souvenirs d’enfance me ramène au jour où je suis monté dans un grand arbre d’où j’ai pu regarder tout le quartier pour y repérer mon chien tant aimé, que je voulais désespérément retrouver. Pendant des semaines, j’ai gardé l’œil ouvert dans l’espoir d’apercevoir Prince Boy, mais en vain.