Tag  |  adoration

Considérez les nuages

Un jour, il y a plusieurs années, mes fils et moi étions couchés sur le dos dans le jardin à regarder les nuages passer. L’un d’eux m’a alors demandé : « Papa, pourquoi les nuages flottent‑ils ? » « Eh bien, fiston », ai‑je commencé avec l’intention de lui faire profiter de ma vaste connaissance en la matière, mais je me suis tu ensuite. « Je l’ignore, ai‑je admis, mais je vais le découvrir pour toi. »

La chevelure défaite

Peu avant la Crucifixion, une femme nommée Marie a répandu le flacon d’un précieux parfum sur les pieds de Jésus. Puis, d’un geste peut-être encore plus audacieux, elle a essuyé les pieds de celui‑ci de ses cheveux (JN 12.3). Non seulement Marie a‑t‑elle dû sacrifier ce qui constituait sans doute les économies de toute une vie, mais elle a également sacrifié sa réputation. Dans la culture du Moyen‑Orient du Ier siècle, les femmes respectables ne laissaient jamais leur chevelure défaite en public. Reste que les véritables adorateurs ne se soucient guère de ce que les autres peuvent penser d’eux (2 S 6.21,22). Pour adorer Jésus, Marie était prête à passer pour quelqu’un d’immodeste, voire d’immoral.

« Il est bon ! »

J’ignore si quelqu’un a déjà réussi à ne pas apprécier les éloges. Et s’il les apprécie, il désire les recevoir. Et s’il n’arrive pas à combler ce désir, il en éprouvera une grande tristesse. Ceux qui aiment être acclamés ont l’esprit affamé lorsqu’on les blâme spontanément, mais aussi lorsqu’ils ne sont pas constamment louangés (traduction libre). —Jean Chrysostome

Question de style

Mon pasteur utilise la méthode logique d’un enseignant pour monter habilement ses prédications. Il prêche sur un passage de la Bible verset par verset et se réfère à d’autres passages pour obtenir un contexte historique. On voit clairement qu’il est passionné par la vérité même s’il hausse rarement le ton.

Le péché de faire semblant

En 2008, un homme a péri dans un accident de voiture en Nouvelle-Zélande. L’autopsie a révélé qu’il ne portait pas sa ceinture de sécurité, mais une fausse ceinture qui passait par-dessus son épaule pour faire croire aux automobilistes ou aux policiers qu’il en portait une. Il faisait semblant de respecter la loi, mais selon le coroner, son subterfuge lui a coûté la vie.

Points de départ

Dans le film Seul au monde, un homme échoue sur une île déserte après un écrasement d’avion et y demeure pendant quatre ans. Lorsqu’il est finalement secouru, les autorités lui admettent qu’au début, elles ne cherchaient pas au bon endroit, puisqu’elles croyaient que l’écrasement avait eu lieu 640 kilomètres plus loin. Leur point de départ n’étant pas le bon, elles avaient peu de chance de réussite même si leurs efforts étaient nobles.

Une année de plus

Bonne année ! Aujourd’hui marque le jour où la planète Terre a une fois de plus complété sa révolution annuelle autour du Soleil. Personne ne sait combien de fois elle a effectué ce circuit, mais nous savons que le trajet est long puisqu’il mesure 940 millions de kilomètres.

Un adepte pour la vie

Cade Pope, un garçon de 12 ans de l’Oklahoma, a posté 32 lettres écrites à la main – une à chacun des dirigeants d’une équipe de la Ligue nationale de football (NFL) des États‑Unis. Cade y disait : « Ma famille et moi aimons le football. Nous jouons au football imaginaire et regardons [les] matchs tous les weekends. […] Je suis prêt à choisir une équipe de la NFL que j’encouragerais toute ma vie ! »

Les portes de l’adoration

En entrant dans certaines des plus grandes villes du monde, on peut trouver de célèbres portes comme la Brandebourg (Berlin), la Jaffa (Jérusalem) et les Downing Street (Londres). Or, que ces portes aient été construites dans un but défensif ou cérémoniel, elles représentent toutes la différence entre se trouver dans ou hors de certains quartiers. Certaines sont ouvertes ; d’autres sont fermées à tous, sauf à quelques personnes.

Ce que Dieu a accompli

Récemment, j’ai eu le privilège de prendre la parole dans un camp d’été pour garçons de neuf à douze ans. Au cours de la semaine, le Saint-Esprit a agi, et douze campeurs ont reçu Jésus comme leur Sauveur. Parmi eux se trouvait un garçon de neuf ans qui s’est approché de moi lors du dernier soir et qui m’a dit : « Vous avez changé ma vie ! » Je lui ai souri et lui ai répondu : « J’en suis heureux, mais c’est Dieu qui a réellement changé ta vie ! » Je savais que Dieu avait accompli son oeuvre dans le coeur de ce garçon.