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ÊTRE CONNU

L’opposition entre le désir de nous faire connaître et la crainte de nous faire connaître est à l’origine de l’une de nos plus grandes luttes intérieures. En tant qu’êtres créés à l’image de Dieu, nous sommes destinés à être connus – de Dieu et des autres. Reste qu’en raison de notre nature déchue, nous avons tous des péchés et des faiblesses que nous préférerions que les autres ne sachent pas. Nous employons l’expression « côté sombre » pour désigner des dimensions de notre vie que nous gardons cachées. Nous servons également aux autres des slogans comme « présentez-vous sous votre meilleur jour ».

La mort d'un compagnon

Mon ami est entrepreneur et ses employés ont deux règles à respecter : « Règle no 1 : Le patron a toujours raison. Règle no 2 : S’il a tort, référez-vous à la règle no 1. » On sait tous qu’il dit ça pour rire, mais ces paroles expriment le souhait de la plupart d’entre nous.

LE GRAND RETOUR

Chad Pennington est un ancien footballeur américain qui a subi de multiples blessures ayant mis sa carrière en péril. Deux fois, ses blessures l’ont obligé à se faire opérer, à faire de la physiothérapie pendant des mois et à s’entraîner pendant des semaines pour pouvoir retourner sur le terrain. Pourtant, les deux fois, il est non seulement retourné au jeu, mais il y a aussi excellé au point que la LNF l’a nommé joueur de l’année ayant effectué le plus beau retour. Par ses efforts, Pennington a voulu démontrer sa détermination à retourner au football.

AUSSI BLANC QUE LA NEIGE

Je ramenais mon fils à la maison un jour après l’école lorsque la neige s’est mise à tomber. Les flocons cotonneux descendaient abondamment et rapidement. Nous avons ralenti jusqu’à nous arrêter à un stop, pris entre d’autres voitures. De l’intérieur de notre véhicule, nous avons regardé une transformation s’opérer. De grandes plaques de sol ont blanchi. La neige a adouci les contours bien définis des immeubles ; elle a couvert les voitures qui nous entouraient et s’est accumulée sur tous les arbres en vue.

MON GENRE DE PERSONNES

Durant un culte auquel j’ai assisté il y a quelques années, le pasteur Ray Stedman s’est avancé en chaire et a lu le passage du jour : « Ne vous y trompez pas : ni les débauchés, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les homosexuels, ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n’hériteront le royaume de Dieu. Et c’est là ce que vous étiez, quelques-uns d’entre vous » (1 Co 6.9-11).

VAINQUEUR DU PÉCHÉ

Il n’y a pas longtemps, quelqu’un m’a posé une question très difficile : « Quelle est la plus longue période durant laquelle vous avez réussi à ne pas pécher ? Une semaine, une journée, une heure ? » Comment répondre à une telle question ? En toute franchise, il se peut que nous disions : « Je ne peux vivre une seule journée sans pécher. » Ou encore, si nous repensons à notre dernière semaine, il se peut que nous constations n’avoir pas même confessé à Dieu un seul péché, mais nous nous leurrerions en disant ne pas avoir péché en pensée ou en action durant toute une semaine.

« JE SUIS... HEU ! DÉSOLÉ »

On a vite fait, aux actualités, de rapporter en détail les faux pas des gens célèbres et leurs confessions subséquentes. Il peut s’agir d’un athlète qui s’est fait arrêter pour conduite en état d’ébriété. Ou encore d’un politicien pris en flagrant délit d’indiscrétion. Dieu seul connaît le cœur, mais lorsque nous entendons une confession hésitante comme « Je suis… heu ! désolé », on pourrait se demander si la personne est vraiment repentante ou regrette simplement de s’être fait prendre.

LES RÈGLES DU DÉSENGAGEMENT

Dans son livre intitulé Throw Out Fifty Things (Jetez cinquante choses), Gail Blanke insiste sur quatre « Règles de désengagement » pour aider les gens à y voir plus clair dans leur vie. En voici la première : « Si elle […] vous pèse, vous encombre ou vous fait tout simplement vous sentir mal avec vous-même, jetez-la, donnez-la, vendez-la, renoncez-y, passez à autre chose. »

UN SALUT SÛR

On raconte que la reine Victoria du Royaume-Uni a été profondément émue lors d’un service religieux. Par la suite, elle a demandé à son aumônier : « Peut-on avoir l’assurance absolue ici-bas de sa sécurité éternelle ? » Il n’avait rien à lui répondre, mais un évangéliste du nom de John Townsend a entendu parler de la question de la reine et, après avoir longuement prié à ce sujet, lui a envoyé un mot qui disait : « C’est avec les mains tremblantes, mais le coeur plein d’amour, et parce que je sais que nous pouvons avoir la certitude ici-bas d’obtenir la vie éternelle dans la demeure que Jésus est allé préparer, que je prierais Votre Très Gracieuse Majesté de bien vouloir lire les passages bibliques suivants : Jean 3.16 ; Romains 10.9,10. »

UNE STRATÉGIE GAGNANTE

À l’époque où j’étais entraîneur de basket dans un lycée, j’ai commis une lourde erreur. J’ai envoyé certains de mes joueurs espionner une équipe adversaire. Leur conclusion : On pourra facilement la battre. Or, notre suffisance nous a valu de perdre la partie contre elle. Cela vous rappelle-t-il quelque chose ? Moi, cette situation me rappelle celle d’Aï, où Josué a envoyé ses espions, qui ont mal jugé de la force de leurs adversaires.