Choses simples
Il était 2 heures du matin et nous venions de faire 26 heures d’avion avec les escales. Les passagers aux yeux bouffis faisaient la queue pour passer les douanes. Pour la plupart, nous n’avions qu’une chose en tête : rentrer à la maison et aller au lit.
Satisfait en Jésus
La jeune mère a perdu du poids et a recommencé à se sentir attirante. Avec le temps, elle s’est lassée de son mari et de leur vie avec leurs quatre jeunes enfants. Elle sentait qu’elle s’était mariée jeune et qu’elle n’avait jamais eu la chance d’explorer d’autres avenues. Elle a fini par mettre en péril la stabilité de sa famille – son amour et son dévouement pour son mari et le bien-être de ses enfants – afin de satisfaire ses propres désirs. Ses voeux de mariage ne lui convenant plus, elle les a violés.
Une occasion en or !
Combien suffirait-il ? Nous aurions peut‑être avantage à nous poser cette simple question par une journée où de nombreux pays développés se consacrent toujours plus aux emplettes. Je parle ici du Vendredi noir, le lendemain de la fête de l’Action de grâces américaine, où les magasins sont nombreux à ouvrir tôt et à réduire leurs prix ; une journée qui s’est d’ailleurs étendue à d’autres nations. Certaines personnes aux moyens limités tentent alors d’acheter une chose qu’elles ne pourraient se permettre sans les grands soldes. Malheureusement, d’autres, mues par la cupidité, font éclater la violence en s’arrachant littéralement les aubaines.
Ce don
Il y a quelques années, j’ai écrit un essai portant sur ma collection de cannes, de bâtons de marche et autres, en songeant à devenir un jour un véritable marcheur. Eh bien, ce jour est arrivé. La combinaison de problèmes de dos et de neuropathie périphérique m’oblige à me déplacer à l’aide d’un tripode. La randonnée, la pêche et bien d’autres activités qui me procuraient tant de joie par le passé me sont désormais refusées.
Une leçon apprise
Mary était veuve et très malade lorsque sa fille l’a invitée à emménager dans le nouvel « appartement de mamie » annexé à sa maison. Même si elle devait pour cela quitter des amis et le reste de sa famille derrière elle, à de nombreux kilomètres de là, Mary s’est réjouie de la générosité de Dieu.
Juste assez
Dans le film Un violon sur le toit, Tevye parle honnêtement à Dieu au sujet de son économie : « Ah ! Seigneur, vous faites beaucoup, beaucoup de pauvres gens ! Bien sûr, je sais qu’il n’y a aucune honte à être pauvre. Mais il n’y a aucune raison d’en être fier non plus. Et puis, qu’y aurait-il de si terrible si jamais j’avais une petite fortune ? [...] Dieu qui fit le ciel et les étoiles, est-ce que ça serait vraiment un drame de changer ton plan phénoménal et me faire riche ? » [sic]
Coupable des faits reprochés
Récemment, j’ai lu un article au sujet d’une adolescente qui avait été accusée de blasphème en vertu des strictes lois de son pays sur le blasphème. Si elle avait été reconnue coupable, elle aurait été emprisonnée à vie. Toutefois, on a découvert qu’un professeur de religion avait livré un faux témoignage dans le but de la piéger.
Le véritable contentement
Combien de fois avons-nous succombé au péché, que ce soit par une dépendance, la convoitise, des commérages, une colère déchaînée, la paresse – et j’en passe – dans le seul but d’étouffer notre souffrance ? Il est tellement facile de se détourner de la volonté de Dieu lorsque nous ressentons le vide, la déception et la douleur.
PRESQUE CONTENT ?
En entrant à pied dans le stationnement après le repas, j’ai vu une camionnette passer à toute allure entre les véhicules garés. En observant la conduite dangereuse du conducteur, j’ai remarqué ce qui était écrit sur la plaque minéralogique de la camionnette : « Almost Content » (Presque content). Après avoir réfléchi à ce message et au sentiment qu’il tentait de communiquer, j’en suis venu à la conclusion que le concept « presque content » n’existe pas. On est content ou on ne l’est pas.
DES OISEAUX GOURMANDS
Chaque année, lorsque je sors la mangeoire à colibris, ces petits oiseaux affairés se mettent à se battre entre eux pour y avoir accès. Même s’il y a quatre places à la « table », les oiseaux luttent pour obtenir celle de leurs congénères. Les quatre places ont la même source de nourriture : un réservoir de sirop au fond de la mangeoire. Sachant que tous les postes de ravitaillement de la mangeoire sont égaux, je secoue la tête en les voyant se livrer à une telle avidité.