UNE POUSSIÈRE ARTISTIQUE
En choisissant d’utiliser de la poussière pour créer Adam (Ge 2.7), Dieu n’a pas eu à craindre de manquer de matière première. Selon Hannah Holmes, auteur de La Vie secrète de la poussière , entre un et trois milliards de tonnes de poussière du désert circuleraient dans l’air au cours d’une année. Or, un milliard de tonnes rempliraient quatorze millions de wagons couverts formant un train assez long pour faire six fois le tour de l’équateur.
UNE CRÉATURE SI MERVEILLEUSE
En faisant vérifier ma vue, dernièrement, mon médecin a sorti un appareil que je n’avais jamais vu auparavant. Quand je lui ai demandé à quoi celui-ci servait, il m’a répondu : « Je m’en sers pour prendre une photo du fond de l’œil. »
LE MONDE DE NOTRE PÈRE
Lorsqu’Amanda Benavides était en deuxième année du premier cycle à l’université Point Loma Nazarene, à San Diego, en Californie, elle a commencé à changer d’avis au sujet du service chrétien ici-bas. Amanda avait grandi en pensant que la protection de l’environnement n’avait rien à voir avec sa relation avec Jésus. Tout cela a cependant changé lorsqu’on l’a mise au défi de reconsidérer le rôle que joue le chrétien dans la protection de la planète, surtout dans le lien entre cette protection et l’évangélisation des plus démunis du monde.
COURONNÉ DE GLOIRE
La sonde spatiale Voyager 1 lancée en 1977 se trouve à l’autre bout de notre système solaire, soit à plus de 16 milliards de kilomètres de la Terre. En février 1990, lorsque Voyager 1 se trouvait à presque 6,5 milliards de kilomètres de nous, des scientifiques en ont tourné la caméra vers la Terre pour prendre quelques photos qui montraient notre planète comme n’étant qu’un point bleu presque imperceptible dans un vaste vide spatial.
C’EST MON INVENTION
Willard S. Boyle, lauréat du prix Nobel de physique, a contribué à inventer « l’œil électronique » à l’origine de l’appareil photo numérique et du télescope Hubble. Cherchant un nouvel appareil photo numérique, il s’est rendu dans une boutique d’Halifax, en Nouvelle-Écosse. Le préposé a tenté d’expliquer à Boyle la complexité de l’appareil, mais s’est arrêté parce qu’il la croyait trop grande pour que son client la saisisse. Boyle lui a alors dit sans ménagement : « Inutile de m’expliquer. C’est mon invention. »
NOUVEAU REGARD SUR LA GLOIRE
Chaque été, des milliers de téléspectateurs de Good Morning America votent en faveur du « lieu le plus beau d’Amérique ». J’étais ravi d’entendre quel lieu avait remporté la palme d’or en 2011 : Sleeping Bear Dunes National Lakeshore. J’avoue ne pas m’être attendu à ce que le lieu gagnant se trouve dans mon État natif du Michigan. Cela me rappelle la fois où ma femme, Martie, et moi avons visité Niagara Falls. Un homme près de nous qui observait notre comportement de touriste nous a lancé sur le ton de la raillerie : « Y’a rien là. Je vois ça tous les jours. »
RÉFLÉCHISSEZ AUX NUAGES
Un jour, il y a plusieurs années, mes fils et moi étions couchés sur le dos dans le jardin à regarder les nuages passer. L’un d’eux m’a alors demandé : « Papa, pourquoi les nuages flottent-ils ? » « Eh bien, fiston », ai-je commencé avec l’intention de lui faire profiter de ma vaste connaissance en la matière, mais je me suis tu ensuite. « Je l’ignore, ai-je admis, mais je vais le découvrir pour toi. »
LA THÉORIE DU TOUT
Des scientifiques s’intéressent à la « théorie du tout ». Parmi les personnes qui croient l’avoir découverte, il y a Brian Greene, qui a écrit L’Univers élégant : une révolution scientifique de l’infiniment grand à l’infiniment petit, l’unification de toutes les théories de la physique. La « théorie des cordes » de Greene constitue un concept complexe qui suggère que tout sous ses formes les plus infimes se compose de combinaisons de cordes qui vibrent. Il a décrit sa théorie comme un cadre capable d’expliquer tout principe fondamental sur lequel le monde est bâti.
DE MARS ?
Des microbes sont tombés de Mars sur la Terre primitive […] et la progéniture de ces microbes est encore ici – c’est nous. » Voilà l’hypothèse qu’un astronome a émise concernant le fait que la vie serait survenue à l’origine sur Mars et se serait ensuite propagée à la Terre.
SAFARI POUR FOURMIS
Dans son livre intitulé Adventures Among Ants : A Global Safari with a Cast of Trillions (S’aventurer parmi les fourmis : un safari mondial en compagnie de milliards d’acteurs), Mark Moffett décrit la fascination que les fourmis lui inspiraient durant l’enfance, un intérêt toujours bien vivant. Cet intérêt a d’ailleurs amené Moffett à faire un doctorat à Harvard, puis à parcourir le monde à titre de spécialiste des fourmis. Ses études lui ont permis d’acquérir une merveilleuse compréhension de ces créatures ingénieuses.