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Dans le jardin

Mes ancêtres étaient des pionniers dans le Michigan. Ils ont défriché la terre, l’ont cultivée, et ont planté des potagers et vergers pour récolter des aliments en vue de nourrir leurs familles. Ce goût agraire s’est transmis au fil des générations. Mon père, qui a grandi dans une ferme du Michigan, aimait le jardinage, ce qui peut expliquer pourquoi j’aime jardiner et sentir l’odeur du sol fertile. Cultiver des plantes qui produisent de belles fleurs et prendre soin des rosiers qui ornent et parfument notre jardin avec tant de beauté sont pour moi d’agréables passe-temps. S’il n’y avait pas de mauvaises herbes, ce serait merveilleux !

La foi à haut risque

Un groupe d’amis et moi tentons de lire la Bible en 90 jours. À ce jour, nous sommes surpris de voir à quel point Dieu prend vie en nous depuis le début du projet.

Inondé de justice

« Dieu juge le péché parce qu’il déteste ce qu’il nous fait à nous et aux autres. Il n’existe aucune autre raison pour Dieu, rien de plus profond que son amour pour nous. Il veut que nous ayons aussi le péché en horreur, et que nous en soyons les exécuteurs. Si nous ne le faisons pas, il le fera ! » —David Roper (Elijah: A Man Like Us [Élie : un homme comme nous])

Aventures

Au début de l’ouvrage classique Le Hobbit, Bilbon Sacquet jouit d’une vie agréable et monotone dans sa demeure de la Comté, jusqu’à ce que le mystérieux Gandalf vienne lui rendre une visite surprise. Gandalf se tourne vers Bilbon et dit : « Je cherche quelqu’un qui participerait à une aventure que j’organise en ce moment, et j’ai peine à trouver un volontaire. » Bilbon répond : « Pas étonnant, dans ce voisinage ! Nous sommes des gens simples et tranquilles et les aventures ne nous intéressent pas. Quel tracas, quel inconfort, quelle horreur ! De quoi vous mettre en retard pour le dîner ! Je ne vois pas ce qu’elles ont d’attirant. »

Quand les méchants gagnent

Comment vous sentez-vous lorsque vous suivez les règles, mais que les tricheurs gagnent ? Ce n’est pas agréable n’est-ce pas ? De telles choses arrivent dans la vie – parfois les méchants gagnent et les bons souffrent.

Qu’un au revoir

Francis Allen m’a conduit à Jésus, et le temps était maintenant presque venu pour Francis de rencontrer Jésus face à face. J’étais chez lui à l’approche de son départ. Je voulais lui dire quelque chose de mémorable et de significatif.

Ténèbres et lumière

Lorsque j’étais enfant, je livrais des journaux à environ cent quarante maisons dans deux rues reliées ensemble par un cimetière. Comme je livrais le journal du matin, je devais quitter la maison à 3 h et traverser ce cimetière de nuit. Il m’arrivait parfois d’avoir peur au point de le traverser au pas de course ! Je le redoutais jusqu’au moment de me retrouver en sécurité sous un lampadaire planté de l’autre côté. La lumière dissipait alors les ténèbres inquiétantes.

Marcher sur l’eau

Lorsque j’ai appris à faire de la voile, je devais marcher le long d’une plateforme flottante très instable pour atteindre les petits bateaux à bord desquels se donnaient les cours. Cela me faisait horreur. Comme je n’ai pas beaucoup d’équilibre, j’étais terrifié à l’idée de tomber entre la plateforme et le bateau en essayant d’y monter. J’ai failli y renoncer. « Gardez les yeux fixés sur moi, me disait l’instructeur. Je suis là et je vais vous rattraper si vous glissez. » J’ai fait comme il m’a dit, et je suis maintenant le fier détenteur d’un certificat attestant que je maîtrise les rudiments de la voile !

À qui faire confiance ?

En 1942, les nazis ont interné plus de 250 000 Juifs de Varsovie dans camp d’extermination de Treblinka en Pologne. La plupart de ces Juifs ont été tués. Une travailleuse sociale nommée Irena Sendler s’est fait passer pour une infirmière et est entrée dans le ghetto de Varsovie afin de sauver les enfants. Elle a réussi à mettre en sécurité 2 500 enfants en les faisant sortir clandestinement. Espérant les réunir un jour avec leur famille après la guerre, elle a caché leur nom dans deux jarres enterrées sous un pommier.

Monstre du chaos

Les civilisations antiques étaient terrifiées par l’océan. Pour elles, la mer était un endroit de tempête et d’imprévisibilité où la houle engloutissait les courageux marins. Il n’est donc pas surprenant que les religions du Proche-Orient ancien possédaient des récits qui relataient comment leur dieu avait vaincu la terrible mer du chaos et son monstre à sept têtes – souvent représenté par un dragon ou un serpent. Que ce soit Marduk qui a tué Tiamat la déesse des mers, ou le Baal des Cananéens qui a coupé la tête du monstre des océans où règne le chaos, les peuples anciens se faisaient un point d’honneur de dire que leur dieu avait triomphé du mal.