Un temps pour toute chose
Durant un vol, récemment, j’ai observé une mère assise avec ses enfants quelques rangées devant moi. Tandis que son bambin s’amusait d’un air heureux, la mère regardait dans les yeux de son nouveau-né en lui souriant et en lui caressant la joue. Son bébé lui rendait son regard avec de grands yeux émerveillés.
Périodes de chagrin
L’année dernière, j’ai appris deux nouvelles extrêmement tristes à l’intérieur de quelques heures. La première était celle d’un ami qui est mort subitement d’une crise cardiaque. Steve, qui n’avait que 60 ans, était un homme bon qui aimait Jésus et sa famille. Quelques heures plus tard, j’ai appris une nouvelle tragique : le mariage d’un couple dont je suis très proche s’est brisé à cause d’une liaison adultère.
Quelle est l’occasion ?
Le petit Asher de quatre ans a sorti son visage rayonnant de sous son pull préféré à cagoule en tête d’alligator munie de mâchoires en peluche qui donnait l’impression de lui avaler la tête ! À le voir, sa mère en a eu le coeur serré. Elle désirait faire bonne impression auprès d’une famille à qui ils allaient rendre visite et qu’ils n’avaient plus vue depuis longtemps.
Cadencer le rythme
Lorsque nous nous arrêtons et que nous réfléchissons aux douze mois qui viennent de passer, nous sommes souvent prompts à nous donner comme objectif pour l’année à venir une vie mieux équilibrée dans tous ses aspects. Selon l’auteur et le pasteur Andy Stanley, nous devrions adopter une certaine cadence qui respecte les périodes de notre vie. Au lieu d’allouer le même nombre d’heures à chaque activité afin de maintenir un mode de vie équilibré, nous devrions reconnaître que certaines périodes exigent que nous passions plus ou moins de temps au travail, que nous fassions plus ou moins d’exercices, que nous ajoutions des aliments à notre régime ou nous en enlevions, etc.
Une occasion en or !
Combien suffirait-il ? Nous aurions peut‑être avantage à nous poser cette simple question par une journée où de nombreux pays développés se consacrent toujours plus aux emplettes. Je parle ici du Vendredi noir, le lendemain de la fête de l’Action de grâces américaine, où les magasins sont nombreux à ouvrir tôt et à réduire leurs prix ; une journée qui s’est d’ailleurs étendue à d’autres nations. Certaines personnes aux moyens limités tentent alors d’acheter une chose qu’elles ne pourraient se permettre sans les grands soldes. Malheureusement, d’autres, mues par la cupidité, font éclater la violence en s’arrachant littéralement les aubaines.
Ai‑je du prix ?
Je fais la queue à la caisse d’un supermarché du quartier en regardant autour de moi. Je vois alors des adolescents à la tête rasée et aux anneaux dans le nez en train de contempler les friandises ; un jeune professionnel en train d’acheter un steak, une botte d’asperges et une patate douce ; une aînée en train d’hésiter entre les pêches et les fraises. Dieu connaît‑il tous ces gens par leur nom ? Ont‑ils réellement du prix à ses yeux ? Voilà ce que je me demande.
Avoir bonne odeur
Bon nombre de mes amis portent du parfum. Seulement, en peu de temps, le parfum se dissipe et ils doivent s’en asperger de nouveau pour continuer de sentir bon !
Sans regrets
Selon vous, quels sont les cinq principaux regrets des mourants ? Une infirmière en soins palliatifs a dressé la liste de ses trouvailles dans un livre. Les voici :
Sombre perspective
Au Moyen Âge, certains moines conservaient un crâne sur leur bureau pour se rappeler leur état mortel et leur mort à venir. Ce presse-papiers osseux évoquait explicitement l’aspect éphémère de leur existence et leur remémorait leur besoin de bien hiérarchiser leurs priorités.
Pour qui je travaille ?
Henry travaillait soixante‑dix heures par semaine. Son travail lui plaisait énormément et il gagnait suffisamment pour procurer de bonnes choses à sa famille. Il a toujours envisagé de ralentir, mais sans jamais le faire. Un soir, il est rentré à la maison avec une grande nouvelle : il était promu au poste le plus élevé de l’entreprise. La maison était toutefois déserte. Au fil des ans, ses enfants avaient grandi et avaient quitté le nid, sa femme s’était bâti une carrière bien à elle, si bien que la maison était maintenant vide. Il ne s’y trouvait personne à qui communiquer la bonne nouvelle.