Prier dans la détresse
Le 27 octobre 2014, BBC Afrique a publié sur ses médias sociaux : « Aujourd’hui nous posons cette question : "Est-ce que la panique générale causée par l’Ebola est justifiée ?" Et nous sommes à la recherche d’appelants… Selon les statistiques, l’Ebola tue beaucoup moins de gens que la malaria ou d’autres maladies. Pourquoi domine-t-elle donc les manchettes ? »
L’épreuve préliminaire
Au cricket, l’épreuve préliminaire peut s’avérer exténuante. Les athlètes la disputent de 11 h à 18 h, avec pauses repas et thé, mais les matchs peuvent s’étendre sur une période allant jusqu’à cinq jours. Il s’agit d’un test d’endurance, ainsi que d’habileté.
Nul besoin de craindre
Un vol paisible était sur le point de devenir mouvementé. La voix du pilote est venue interrompre le service des boissons pour demander aux passagers de veiller à ce que leur ceinture soit bouclée. Puis l’avion n’a pas tardé à tanguer comme un navire sur un océan démonté. Alors que les autres passagers s’efforçaient de composer avec les turbulences, une fillette n’a cessé de lire son livre tout le long. Après l’atterrissage, on a voulu savoir ce qui lui avait permis de rester si calme. Ce à quoi elle a répondu : « Mon papa est le pilote et il me ramène à la maison. »
Être secoué
Une fois, alors que je me trouvais au haut d’une montagne en Norvège, Dieu a choisi de me sauver d’une mort prématurée. À l’époque, j’ai trouvé cela fâcheux. Dieu savait néanmoins que, sur le plan spirituel, j’étais esclave et j’avais besoin d’être sauvé – essentiellement de moi-même. Il savait que j’étais mort spirituellement et que j’avais besoin de comprendre à quel point je me trouvais dans une mauvaise situation. Il m’a alors fait passer par une série d’événements extrêmement inconfortables afin que je puisse réaliser ce dont j’avais vraiment besoin – de lui !
La voix de la foi
La nouvelle l’a assommée. Les larmes lui sont montées aux yeux si vite qu’elle n’a pu les réprimer. Elle avait la tête qui bourdonnait de questions et la peur menaçait de la terrasser. La vie s’était montrée si clémente, avant d’être interrompue et altérée à tout jamais sans prévenir.
Les tempêtes de la vie
L’Évangile de Marc fait état d’une tempête terrible. Les disciples et Jésus étaient à bord d’une barque et ils traversaient la mer de Galilée. Quand « il s’éleva un grand tourbillon », les disciples, dont certains d’entre eux étaient des pêcheurs d’expérience, ont craint pour leur vie (4.37,38). Dieu ne s’en faisait-il pas pour eux ? Jésus ne les avait-il pas triés sur le volet et n’étaient-ils pas proches de lui ? N’obéissaient-ils pas à son ordre de passer sur l’autre bord ? (V. 35.) Pourquoi donc traversaient-ils une telle tourmente ?
Vision floue
Mon amie, Meaghan, est une cavalière accomplie. Elle m’a d’ailleurs appris des faits intéressants au sujet des chevaux. Par exemple, même si ce sont les mammifères terrestres ayant les yeux les plus gros, ils n’ont pas une bonne vision et distinguent moins de couleurs que les humains. Par conséquent, ils ne peuvent pas toujours identifier correctement les objets au sol. Quand ils y voient une perche, ils ignorent s’il s’agit d’un bâton qu’ils peuvent facilement enjamber ou d’un serpent qui pourrait les mordre. Voilà pourquoi les chevaux sont craintifs et ont tendance à s’emballer, jusqu’à ce qu’on les ait bien entraînés.
Ouvrez sa parole
Combien de fois, comme moi, avez-vous plongé dans le péché, que ce soit dans la toxicomanie, l’inconduite sexuelle, les ragots, l’orgueil, la colère incontrôlée ou la paresse, en tentant d’atténuer les douleurs de la vie ? Il est trop facile de répondre au vide, à la déception ou au mal que nous vivons en nous détournant des commandements de Dieu au lieu de nous tourner vers eux.
Accompagner
Lorsqu’un cancer du sein a été diagnostiqué chez ma soeur Carole, notre famille s’est inquiétée pour elle. Ce diagnostic, avec l’opération et les traitements associés, nous a amenés à craindre pour le bien‑être de Carole et nous a poussés à prier pour elle. Au cours des mois qui ont suivi, Carole nous a tenus au courant des défis qu’elle avait à surmonter en toute honnêteté. Nous avons néanmoins tous célébré l’annonce de la réussite de l’opération et des traitements. Carole avait amorcé sa convalescence !
Le grand coeur de Dieu
Roger a vécu beaucoup d’épreuves. Il a subi une opération à coeur ouvert visant à réparer une valve qui fuyait. Seulement quelques semaines plus tard, les médecins ont dû refaire l’opération à cause de complications. Il venait d’amorcer sa convalescence en physiothérapie lorsqu’il a eu un accident de vélo et qu’il s’est cassé la clavicule. En plus, Roger a vécu la perte tragique de sa mère durant ce temps‑là. Il est donc devenu très découragé. Lorsqu’un ami lui a demandé s’il avait vu Dieu à l’oeuvre dans une petite chose ou une autre, il a avoué qu’il ne l’avait réellement pas vu.