L’espoir Nozomi
En 2011, un séisme de magnitude 9 et le tsunami qui en a résulté ont fauché près de 19 000 vies et détruit 230 000 foyers au nord-est de Tokyo. Par la suite, on a mis sur pied le Projet Nozomi, mot japonais qui signifie « espoir », afin de procurer aux sinistrés un moyen de subsistance, une vie communautaire, la dignité et l’espoir en un Dieu généreux.
Un coeur joyeux
Un des airs préférés de ma petite‑fille compte parmi les airs militaires de John Philip Sousa, compositeur américain de la fin du XIXe siècle surnommé « le roi des marches militaires ». Moriah ne fait pas partie d’une fanfare, car elle n’est âgée que de 20 mois. Cette musique, dont elle peut même fredonner quelques notes, lui plaît tout simplement. Elle l’associe à des moments joyeux. Lorsque nous nous réunissons en famille, nous fredonnons souvent cette marche en frappant des mains et en faisant d’autres bruits au rythme desquels nos petits‑enfants dansent ou se pavanent en tournant en rond. Tout cela se termine toujours avec des enfants étourdis et beaucoup de rires.
L'art de la joie
Récemment, j’ai téléphoné à un ami qui avait connu énormément d’épreuves et d’abattement. Des gens qui lui sont chers et qu’il aime ont fait des choix qui leur ont causé du tort et lui ont donné des maux de tête. Toutefois, mon ami a répondu au téléphone d’une voix claire.
Rempli de joie
Dans son livre classique Orthodoxie, G. K. Chesterton a écrit : « [Les enfants] veulent que les choses se répètent et ne changent pas. Ils disent toujours : “Fais-le encore !” ; et l’adulte le fait encore, jusqu’à ce qu’il soit presque mort. Car les adultes ne sont pas assez vigoureux pour exulter dans la monotonie. Dieu, lui, est peut-être assez vigoureux pour exulter dans la monotonie. Il est possible que Dieu chaque matin dise au soleil : “Fais-le encore !”, et chaque soir à la lune : “Fais-le encore !” Ce n’est peut-être pas une nécessité automatique qui fait semblables toutes les marguerites ; c’est peut-être que Dieu fait chaque marguerite séparément, sans être jamais fatigué de les faire. »
L'espoir qui renaît
Sur son blogue, Gayla a raconté qu’elle avait redonné vie à un cactus trouvé dans la poubelle d’un immeuble à logements de son quartier. Elle a trouvé une tige qui donnait signe de vie, et avec un peu d’élagage, a redonné vie à la plante vraisemblablement morte qui fleurit à nouveau et qui pousse maintenant bien. Elle a expliqué en détail la transformation du cactus afin d’aider ceux qui croient que leur plante est fichue.
Le rire
Dans la campagne ougandaise, un groupe de villageois s’était rassemblé autour d’un énorme appareil de forage pour regarder un puits être creusé pour eux. Douze heures plus tard, lorsque la foreuse a atteint l’eau, les hommes, les femmes et les enfants se sont mis à danser, à rire et à exprimer leur reconnaissance à Dieu pour l’accès qu’ils ont à une source d’eau pure pour la première fois de leur vie.
Voici l'espoir
Amy Bleuel a tenté de mettre fin à sa vie après avoir connu des années de sévices et de chagrin. Elle avait 6 ans lorsque ses parents ont divorcé et que sa belle-mère a commencé à la maltraiter. À 13 ans, elle a été agressée sexuellement et blâmée pour le crime. À 18 ans, son père s’est suicidé. La dépendance et d’autres traumatismes personnels ont suivi. Toutefois, sa foi en Jésus a permis à Amy de survivre. Avec le temps, elle a trouvé un groupe de soutien pour ceux qui vivent les mêmes difficultés : le Projet point-virgule. Son message est simple, mais percutant : « Un point-virgule est utilisé lorsqu’un auteur aurait pu terminer sa phrase, mais a choisi de ne pas le faire. Vous êtes l’auteur, et votre vie est le point-virgule. »
Quand le jour se lève
Très tard en soirée, nous nous sommes arrêtés dans une auberge de Munich pour y passer la nuit. Nous étions ravis de voir que notre petite chambre était munie d’un balcon, même si un épais brouillard nous voilait complètement la vue. Par contre, lorsque le soleil s’est levé quelques heures plus tard, cette nappe a commencé à se dissiper. Et nous avons pu alors voir ce qui la veille avait été enveloppé de ténèbres : une scène des plus idylliques composée d’un pré paisible et verdoyant, de moutons en train de brouter avec de minuscules clochettes tintant à leur cou et d’énormes nuages blancs dans le ciel qui ressemblaient étrangement eux aussi à des moutons, d’immenses moutons floconneux !
Joie et bonheur
Ma femme Merryn et moi avons passé Noël dernier sur l’Île de Mull en Écosse. Les montagnes enneigées et les paysages colorés en font un endroit magnifique ! Un moment nous roulions dans une tempête de neige et l’instant d’après nous voyions apparaître un arc-en-ciel double visible d’un bout à l’autre. Pour moi, Mull est un endroit de contes de fées.
Chez soi
Steven, un jeune réfugié africain apatride, croit être né au Mozambique ou au Zimbabwe, mais n’a jamais connu son père et a perdu sa mère. Celle-ci, fuyant la guerre civile, était allée de pays en pays, gagnant sa vie comme vendeuse de rue. Sans papiers et incapable de prouver son lieu de naissance, Steven est entré un jour dans un commissariat britannique pour demander à se faire arrêter. La prison lui semblait préférable à la survie dans la rue sans les droits et les privilèges afférents à la citoyenneté.