Aimés de toute éternité
Il nous est presque impossible de passer toute une journée sans nous faire snober, négliger ou dénigrer d’une manière ou d’une autre. Nous sommes d’ailleurs parfois ceux qui agissent de la sorte.
Endormi ?
Un euphémisme c’est « l’atténuation d’une expression jugée trop directe, trop choquante ». Au lieu de dire : « Notre chien est mort », nous disons : « Notre chien s’est endormi pour toujours. »
Un Sauveur atemporel
Jeralean Talley est morte en juin 2015 à titre de personne ayant vécu le plus longtemps au monde : 116 ans. En 1995, la ville de Jérusalem a célébré son 3000e anniversaire de naissance. Cent seize ans, c’est vieux pour un être humain, et 3000 ans, c’est vieux pour une ville, mais sachez qu’il existe des arbres qui vivent encore plus vieux. On sait que les pins aristés des Montagnes blanches de la Californie vivent plus de 4800 ans, ce qui les fait donc remonter à 800 ans avant l’époque d’Abraham !
La mortalité et l’éternité
La mortalité motive et l’éternité influence. Ces deux choses ont motivé et influencé le leader puritain Richard Baxter, à qui l’on attribue ses paroles : « La face de la mort et la proximité de l’éternité ont joué beaucoup dans mon choix de livres à lire, d’études à poursuivre, de gens à fréquenter et de conversations à entretenir. Cela m’a conduit tôt vers la vigne de l’Éternel et m’a appris à prêcher comme un homme mourant à des hommes mourants. » Baxter, reconnaissant son état mortel, distingue les bonnes des mauvaises façons d’utiliser son temps. Il est évident que les Écritures ont influencé sa compréhension.
La bulle éclate
En passant à côté de nous sur la promenade de bois d’Atlantic City, un jeune garçon nous a arrosés de bulles. Mon mari, Carl, et moi étions venus dans cette ville pour rendre visite à notre beau‑frère hospitalisé et pour conduire la soeur de Carl chez le médecin lorsque nécessaire. En marchant le long de la côte ce jour‑là, nous nous sentions un peu dépassés par les besoins de notre famille.
Le meilleur reste à venir
Vos meilleurs jours sont‑ils derrière ou devant vous ? Sachez que le regard que nous posons sur la vie – et notre réponse à cette question – est susceptible de changer avec le temps. Jeunes, nous regardions devant en aspirant à devenir adultes. Plus vieux, nous regrettons de ne pas pouvoir retourner dans le passé. Par contre, si nous marchons avec Dieu, quel que soit notre âge, le meilleur reste à venir !
Investir pour l’éternité
Jésus dit que celui qui veut être son disciple doit faire trois choses : « [Qu’il] renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive » (Mt 16.24). Puis il a mis la barre encore plus haute : « Si quelqu’un vient à moi, sans me préférer à son père, à sa mère, à sa femme, à ses enfants, à ses frères, et à ses soeurs, et même à sa propre vie, il ne peut être mon disciple » (Lu 14.26). Étant donné que ces réalités sont extrêmement exigeantes, pourquoi voudrait-on le suivre ?
Viens à moi
Lorsque Jésus vivait ici‑bas, il invitait les gens à venir à lui, ce qu’il fait encore de nos jours (Jn 6.35). Qu’ont‑ils toutefois, lui et son Père dans les cieux, dont nous avons besoin ?
Une lettre du front
Depuis plus de deux décennies, Andrew Carroll exhorte les gens à ne pas jeter les lettres que des membres de leur famille ou des amis ont écrites en temps de guerre. Carroll, directeur du Center for American War Letters à l’université Chapman, en Californie, les considère comme étant un lien irremplaçable pour unir la famille plus étroitement et lui ouvrir la porte de la compréhension. À ce sujet, Carroll a dit : « Les générations plus jeunes lisent ces lettres et posent des questions, puis affirment : "Maintenant je comprends ce que tu as subi, ce que tu as sacrifié." »
Revenir à la vie
La mer Morte en Israël est un endroit unique en son genre pour aller plonger. Il faut peu de temps aux touristes qui entrent dans l’eau pour se rendre compte que les flotteurs ne sont pas nécessaires. Ouais ! on n’a pas besoin de nager sur place dans la mer Morte. Grâce à sa concentration exceptionnellement élevée en sel, les gens flottent à sa surface comme des pommes dans un baril d’eau.