L’ÉCOUTE
Comme le dit le dicton : « Dieu nous a donné deux oreilles et une bouche pour une raison. » L’écoute constitue une capacité essentielle à posséder. On nous conseille de nous écouter réciproquement. Les chefs spirituels nous exhortent à écouter Dieu. Par contre, presque personne ne nous dit : « Écoutez-vous vous-même. » Je ne veux pas dire par là que nous avons une voix intérieure qui nous indique toujours la bonne chose à dire ou que nous devrions nous écouter nous-même plutôt que d’écouter Dieu et les autres. Je veux dire que nous devons nous écouter nous-même pour découvrir comment les autres reçoivent peut-être nos paroles.
Porter la marque
Le mercredi des Cendres est commémoré 40 jours avant le Vendredi saint. Le prêtre trace une croix à l’aide de cendres sur le front de chaque personne. Se couvrir de cendres indique des remords et la repentance de ses péchés (Job 42.6 ; Lu 10.13). Le prêtre appliquant la cendre prononce ceci : « [Car] tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière » (Ge 3.19) ou « Repentez-vous, et croyez à la bonne nouvelle » (Mc 1.15).
El Shaddaï
El Shaddaï, un chant de louanges écrit par Michael Card et John Thompson contient plusieurs mots hébreux. Cette chanson a remporté le prix de la « Chanson de l’année » et Michael Card le prix de l’« Auteur-compositeur de l’année », à l’édition de 1983 des « Gospel Music Association Dove Awards » (Prix Dove de l’Association de musique gospel). Le titre de la chanson provient de Genèse 17.1 et Exode 6.3.
DES BRIQUES SANS PAILLE
Nous sommes nombreux à relever le défi de travailler avec des ressources limitées. Possédant moins d’argent, moins de temps, une énergie vacillante et moins d’assistants, notre charge de travail risque de rester la même. Il arrive même parfois qu’elle augmente. Il y a d’ailleurs un dicton qui résume bien ce problème : « Plus de briques, moins de paille. »
COEURS ERRANTS
Il y a deux ans, on a dû fermer un tronçon d’une autoroute de ma ville pendant plusieurs heures parce qu’une bétaillère s’était renversée. Le bétail avait pris la fuite et errait sur l’autoroute. À l’écoute de cette actualité, je me suis rappelé quelque chose que j’avais étudié peu avant dans Exode 32 au sujet du peuple de Dieu qui avait erré loin de lui.
QUI SUIS-JE ?
Il y a des années, l’évangéliste de renom Billy Graham devait prendre la parole à l’Université de Cambridge, en Angleterre, mais il ne se sentait pas qualifié pour s’adresser à de grands penseurs. Il n’avait pas fait d’études supérieures ni fréquenté de collège biblique. Billy a confié à un ami : « Je ne crois pas m’être déjà senti moins à la hauteur et moins prêt à accomplir une mission. » Il a prié Dieu de lui venir en aide, et Dieu s’est servi de lui pour transmettre simplement la vérité de l’Évangile et de la croix de Christ.
UN RYTHME DE VIE PLUS LENT
Lorsque l’auteur Bruce Feiler a reçu un diagnostic du cancer des os dans la cuisse, il n’a pu marcher sans aide pendant plus d’un an. Apprendre à se déplacer en béquilles l’a amené à jouir d’un rythme de vie plus lent. Feiler a dit à ce sujet : « Ralentir mon rythme est devenu ma leçon de vie principale. »
LE BRAS FORT DE DIEU
Mon amie Joann désirait ardemment devenir concertiste, voyager et se produire comme soliste ou accompagnatrice. En étudiant principalement le piano au collège, elle a développé une tendinite dans le bras droit, qui s’est trop affaibli pour lui permettre de donner le récital en solo que l’on exigeait d’elle. Elle a donc obtenu, à la place, son diplôme en histoire et en littérature de la musique.
« NE T’INQUIÈTE PAS, PAPA ! »
L’été dernier, mon mari et moi avons animé un concert et une campagne de financement pour la recherche sur le cancer chez les enfants. Nous pensions tenir l’événement dans notre jardin, mais les prévisions météorologiques nous en ont dissuadés. Quelques heures avant l’événement, nous nous sommes mis à informer, par téléphone, notre centaine d’invités du changement au programme. Comme nos proches et nos amis commençaient à transférer vivement la nourriture, les décorations et l’équipement de chez nous au gymnase de notre église, notre fille Rosie a pris le temps de serrer son père dans ses bras et de lui rappeler que ses enfants et ses petits-enfants étaient là pour lui : « Ne t’inquiète pas, papa ! On est là pour toi. »
LA DESCRIPTION DE DIEU
Les prières de jeunes enfants nous montrent ce qu’ils pensent de Dieu. En voici deux que j’ai lues dernièrement :