AUCUN RISQUE
Dernièrement, un de mes collègues m’a raconté une expérience qu’il a faite et que je n’ai aucunement l’intention de tenter : le saut à l’élastique. J’ai trouvé sa description de l’événement à la fois fascinante et terrifiante. L’idée de sauter tête première d’un pont à une centaine de mètres d’altitude, en n’y étant retenu que par un énorme élastique, ce n’est pas du tout ce que je qualifierais d’amusant. Par contre, son saut n’était pas dénué de tout soutien. Il a décrit non pas un, mais deux, harnais robustes lui assurant d’être bien attaché à son cordage de sécurité et donc de n’avoir rien à craindre. La conception et la mise à l’épreuve soignées de ces harnais lui procuraient toute l’assurance dont il avait besoin pour se jeter dans le vide.
PAR GRATITUDE
Jeune, Robert Robinson (1735-1790) aimait faire les cent coups avec ses amis, dit-on. À 17 ans, il a toutefois entendu un sermon de George Whitefield inspiré de Matthieu 3.7 qui lui a fait prendre conscience de la nécessité pour lui d’être sauvé en Christ. Le Seigneur a alors transformé la vie de Robinson, qui est devenu prédicateur. Il a également écrit plusieurs cantiques, dont le célèbre cantique intitulé « Come, Thou Fount of Every Blessing » (Toi, la Source de tout mon bonheur).
DIFFICILES À AIMER
Il y a plusieurs années, j’ai servi de conseiller de colonie de vacances à des garçons rebelles. J’ai eu du mal à composer avec leur comportement. Ils maltraitaient les animaux à la ferme pédagogique et se battaient entre eux à l’occasion. Pour les diriger, j’ai donc adopté une approche empreinte de calme et de fermeté. Or, même s’ils m’ont souvent exaspéré, j’ai toujours veillé à répondre à leurs besoins physiques.
FORTIFIÉS PAR LES SOUFFRANCES
Les services religieux se terminent souvent par une bénédiction. En voici une courante : « Le Dieu de toute grâce, qui vous a appelés en Jésus-Christ à sa gloire éternelle, après que vous aurez souffert un peu de temps, vous perfectionnera lui-même, vous affermira, vous fortifiera, vous rendra inébranlables » (1 Pi 5.10). On omet parfois l’incise « après que vous aurez souffert un peu de temps ». Pourquoi ? Peut-être parce que l’on trouve désagréable de parler de souffrance.
UN HOMME BON
Jerry était un homme bon , a déclaré le pasteur durant le service funèbre de Jerald Stevens. « Il aimait sa famille. Il est resté fidèle à sa femme. Il a servi son pays sous les drapeaux. C’était un excellent père et grand-père. C’était aussi un ami formidable. »
VUE SPIRITUELLE
Un prisonnier ayant survécu 14 ans dans une prison cubaine a raconté comment il avait réussi à garder espoir et le moral : « Comme ma cellule était sans fenêtre, je m’en suis imaginé une sur la porte. J’y ai ‘‘vu’’ en pensée un magnifique paysage montagneux avec une chute coulant sur un ravin aux parois rocheuses. Ce paysage m’est devenu si réel que je n’avais aucune peine à le visualiser chaque fois que je regardais ma porte de cellule. »
LE JEU EN VAUT LA CHANDELLE
Que ne donnerait-on pas en échange d’un nouvel IPad ? Un jeune de 17 ans a donné l’un de ses reins ! Il semblerait qu’il ait voulu s’acheter un IPad hors de ses moyens au point de risquer de subir une opération.
Étienne, dans Actes 7, a couru un grand risque, mais afin de proclamer la bonne nouvelle de Jésus. Tout…
COMPTONS-NOUS POUR DIEU ?
Le psalmiste a écrit : « Quand je contemple les cieux […] qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? » (Ps 8.4,5.) L’Ancien Testament tourne autour de cette question. Se tuant au travail en Égypte, les esclaves hébreux avaient du mal à croire les affirmations de Moïse selon lesquelles Dieu veillait sur eux. L’auteur d’Ecclésiaste a…
NOTRE PRIÈRE, LA VOLONTÉ DE DIEU
La requête de prière écrite à la main fendait le cœur par son apparente impossibilité : « Veuillez prier – je souffre de sclérose en plaques, ma musculature est faible, j’ai du mal à déglutir, mes douleurs augmentent, ma vue faiblit. » Le corps de cette femme tombait en ruine, et je sentais le désespoir dans sa demande suppliante d’intercession.
MÊME ELLE ?
Imaginez un peu trouver dans votre arbre généalogique cette description de votre ancêtre : « Une prostituée ayant pris sous son toit des ennemis du gouvernement. Lorsque les autorités l’ont affrontée à ce sujet, elle l’a nié. »