Se confier en Jésus
On l’appelle « L’empreinte du diable ». C’est une trace en forme de pied imprimée dans le granite d’une colline située derrière une église d’Ipswich, au Massachusetts. Selon la légende locale, cette « empreinte » y serait apparue à l’automne 1740, lorsque l’évangéliste George Whitefield aurait prêché avec une telle puissance que le diable aurait bondi sur ce rocher depuis le clocher de l’église en quittant la ville.
La foi en action
Se rendant en voiture à l’épicerie, une de mes amies a remarqué une femme qui marchait le long de la route. Mon amie s’est alors sentie poussée à faire demi‑tour pour lui offrir de la prendre à bord. Puis elle s’est attristée d’entendre sa passagère lui dire qu’elle n’avait pas les moyens de prendre l’autobus, ce qui l’obligeait à rentrer chez elle en parcourant à pied de nombreux kilomètres par une chaleur et une humidité étouffantes. Non seulement devait‑elle faire tout ce chemin pour rentrer chez elle, mais encore elle avait également marché plusieurs heures ce matin‑là pour arriver au travail à quatre heures.
Prières à cinq doigts
La prière est une conversation avec Dieu, et non une formule. Il arrive néanmoins parfois que nous devions avoir recours à une « méthode » pour raviver notre temps de prière. Nous pouvons alors prier selon les Psaumes ou d’autres passages bibliques (comme le Notre Père), ou encore la méthode ACTS (adoration, confession, gratitude (T pour thanksgiving) et supplication). Je suis tombée dernièrement sur cette « Prière à cinq doigts », à utiliser comme guide dans mes prières pour autrui :
Une foi établie
Jean Vanier, le fondateur des communautés de l’Arche, a passé sa vie à aimer ceux qui étaient souvent exclus de la société. L’Arche crée des communautés vivantes pour les handicapés ou pour ceux qui, parce qu’ils ont besoin de soins de longue durée, seraient placés en établissement si ce genre de foyer n’existait pas. Vanier affirme que les communautés reposent sur les soins du corps les plus élémentaires : donner des bains, habiller et nourrir les résidents qui ne peuvent faire ces choses seuls.
Éprouvé par le feu
En visitant un musée d’histoire naturelle du Colorado, j’ai découvert quelques faits remarquables au sujet du tremble. Tout un bosquet de trembles élancés et au tronc blanc peut pousser à partir de la même graine en partageant le même système racinaire. Or, ce système peut subsister pendant des milliers d’années, qu’il produise ou non des arbres. Il dort sous terre, attendant qu’un incendie, une inondation ou une avalanche lui taille une place au sein d’une forêt ombragée. Après qu’une catastrophe naturelle leur a fait de la place au sol, les racines du tremble peuvent enfin sentir les rayons du soleil et produire des arbrisseaux qui deviendront des arbres.
Un petit feu
Par un dimanche soir de septembre, la plupart des gens dormaient quand un petit incendie a éclaté à la pâtisserie de Thomas Farriner dans la rue Pudding Lane. Les flammes n’ont pas tardé à se propager de maison en maison, si bien que toute la ville s’est retrouvée en proie au grand incendie de Londres de 1666. Le brasier qui a ainsi réduit en cendres les quatre cinquièmes de la ville a jeté à la rue plus de 70 000 personnes. Une telle destruction engendrée par un si petit feu !
Termes bannis
Chaque année, la Lake Superior State University aux États-Unis publie une liste de mots agaçants qui devraient être bannis. Au premier rang de leur liste de 2013 se trouve selfie, un terme qui a reçu plus de nominations qu’aucun autre. Twerking, hashtag et twittersphere sont d’autres termes qui ont reçu beaucoup de votes. Cette liste me rappelle que la langue est en perpétuel changement et qu’elle peut nous persuader, nous impressionner ou nous agacer.
Que croyez-vous ?
À l’approche du point culminant du film Indiana Jones et la dernière croisade, un méchant tire sur le père d’Indiana pour motiver le fils affligé à pénétrer dans un temple piégé afin d’en récupérer le Saint Graal. « Seul le pouvoir guérisseur du Graal peut sauver votre père maintenant, lui dit-il. Le moment est venu de vous poser la question : En quoi croyez-vous ? » Je déplore le comportement méchant de cet homme, mais il avait mis le doigt sur une vérité : nos croyances déterminent nos actions.
Écouter ou agir ?
Une nuit, le téléphone a sonné. On informait mon mari, qui est pasteur, que l’on conduisait à l’hôpital une septuagénaire de notre assemblée. Il s’agissait d’une guerrière de la prière qui vivait seule et était devenue malade au point de ne plus pouvoir manger, boire, voir et marcher. Ignorant si elle survivrait ou mourrait, nous avons demandé à Dieu de lui venir en aide et de lui faire miséricorde, car nous nous préoccupions beaucoup de son bien. L’Église est passée immédiatement à l’action en instaurant un échéancier de visites jour et nuit qui a eu pour effet non seulement d’oeuvrer auprès de notre être cher, mais encore de témoigner de l’amour de Christ à d’autres patients, à des visiteurs et au personnel médical.
La belle vie
Le jour du soixante-quinzième anniversaire du milliardaire Ted Turner, un portrait de CNN débutait par ces termes émouvants : « Qu’est-ce qui importera le plus dans l’histoire de la vie de Ted Turner lorsque le générique défilera ? Le fait qu’il a mis sur pied la première chaîne de nouvelles en continu ? Qu’il a amassé une fortune qui a déjà été évaluée à 10 milliards de dollars ? Qu’il a été l’homme de l’année du magazine Time ? Qu’on lui a consacré une étoile dans le Walk of Fame d’Hollywood ? Que son livre s’est retrouvé sur la liste des succès de librairie du New York Times ? Peut-être sera‑ce que son équipe de baseball a gagné la Série mondiale. Tout ça vous impressionne ? »