Aide extérieure
Lors d’un voyage d’affaires, mon mari venait de s’installer dans sa chambre d’hôtel quand il a entendu un drôle de bruit. Sortant dans le corridor, il s’est mis à en chercher la source et a entendu quelqu’un qui criait depuis une chambre voisine. Un employé de l’hôtel s’étant joint à lui, ils ont découvert qu’un client s’était enfermé dans la salle de bains de sa chambre. Le loquet avait mal fonctionné et l’homme prisonnier avait été pris de panique. Il croyait étouffer et avait crié à l’aide.
Attention à la clôture !
Fillette, j’ai accompagné mes parents rendre visite à mon arrière-grand-mère, qui vivait près d’une ferme. Sa cour était entourée d’une clôture électrique destinée à empêcher les vaches de paître son gazon. Quand j’ai demandé à mes parents si je pouvais jouer dehors, ils y ont consenti, en m’avertissant de ne pas toucher à la clôture si je ne voulais pas recevoir de décharge électrique.
Rester fidèle
Un jeune homme vacillait entre deux mondes. Traînerait-il avec les bandes de malfaiteurs de son quartier ou marcherait-il avec Christ ? Malgré la dépendance à la drogue de son père et la schizophrénie de sa mère, sa grand-mère priait pour lui et l’encourageait à suivre Jésus. L’artiste hip-hop FLAME admet qu’à une certaine période de sa vie, il a essayé de pénétrer chacun de ces deux mondes. Aujourd’hui, il détient un diplôme en relation d’aide biblique et étudie au séminaire. Ses albums les plus vendus propagent des messages chrétiens au son de la musique populaire.
À la fin…
Dans l’East End j’ai trouvé la grâce, la foi et l’espoir, cachés dans les coins les plus sombres. J’ai vu de la tendresse, de la misère et des rires parmi les saletés. Je me suis trouvé un but et une voie, et j’ai travaillé avec passion et avec la meilleure des raisons – je l’ai fait par amour. Cette citation prise d’un épisode de la série de la BBC SOS sages-femmes représente non seulement la vie dans les années 50 dans un quartier pauvre de Londres, mais elle reflète aussi la façon dont nous devrions vivre notre foi en Jésus.
LA VIE BIEN ARROSÉE
J’ai un ami qui vit dans un ranch des grands espaces du Montana. La route qui mène chez lui serpente à travers des contrées sauvages et arides. En approchant de son ranch, on ne peut s’empêcher de remarquer les bandes contrastantes d’arbres verdoyants et d’une végétation pleine de vie ornant sa propriété. Une des meilleures rivières à truites d’Amérique du Nord la traverse, et tout ce qui pousse près de ses berges profite d’une source inépuisable d’eau vitale.
Hors saison
Je me rappelle un certain printemps aux États‑Unis où les températures anormalement douces avaient battu des records et suscité la bonne humeur. Mais ces températures de 30 degrés viennent avec un prix. Peu de temps après, une vague de froid avait gelé toutes les fleurs. Les bourgeons en fleur s’étaient flétris. Les fermes fruitières avaient été dévastées. Le prix des aliments avait augmenté de façon substantielle.
UN AIDE FIDÈLE
Tout jeune, mon père devait servir de la pâtée aux cochons affamés dans la ferme où il a grandi. Cette tâche lui répugnait parce que les animaux le renversaient dès qu’il entrait dans la porcherie. Elle aurait d’ailleurs pu lui être impossible à accomplir si ce n’avait été de l’aide fidèle qui l’accompagnait : un berger allemand du nom de Sugarbear. La chienne se faufilait entre mon père et les cochons pour retenir ces derniers jusqu’à ce que mon père ait terminé sa corvée.
Dieu te connaît
Collectors Weekly a récemment publié une série fascinante de photos du contenu de valises laissées par les patients décédés de l’asile Willard pour les aliénés entre 1910 et les années 1960. Les images racontent des histoires et soulèvent de nombreuses questions. L’une des valises contenait une collection de brosses à cheveux étranges, emballées à côté d’un petit balai de paille. Une autre valise renfermait une horloge, un tube de crème à chaussures, et un petit terrier écossais sculpté à la main. Il y avait des livres, des instruments de musique, des photos et des revues. Chaque photo nous rappelle qu’une personne a laissé derrière elle ses bagages, elle était une mère, un frère ou un ami. Les restes dispersés nous donnent un vague aperçu de leur propriétaire.
BRISÉ, MAIS MAGNIFIQUE
Dernièrement, ma fille m’a montré sa collection de verre de mer. Ces tessons aux diverses couleurs sont parfois des morceaux de poterie, mais sont souvent aussi des éclats de bouteilles de verre. À l’origine, ce verre servait à quelque chose, mais on en est venu à le jeter et il a fini par se briser.
PONTS VIVANTS
Les habitants de Cherrapunji, en Inde, ont trouvé un moyen unique de traverser les nombreuses rivières et les nombreux ruisseaux de leur région. Ils se font pousser des ponts à partir des racines de caoutchoutiers. Ces « ponts vivants » prennent entre dix et quinze ans à atteindre la maturité, mais une fois qu’ils se sont bien enracinés, ils sont extrêmement stables et vivent des centaines d’années.