Tag  |  Jérémie

PAS UNE CHAÎNE

Peutêtre aurez-vous déjà entendu le dicton : « Le passé est censé être une balise, et non une chaîne. » C’est facile de nous laisser lier par le souvenir du « bon vieux temps » plutôt que d’utiliser notre vécu pour découvrir la voie à suivre. Nous sommes tous susceptibles de nous laisser paralyser par la nostalgie, ce désir ardent de retrouver ce qui était.

À QUI EN REVIENT LE MÉRITE ?

Chris Langan a un QI supérieur à celui d’Albert Einstein. Moustafa Ismail a des biceps de 79 cm et peut lever 272 kilos. On estime la valeur nette de Bill Gates à plusieurs milliards. Ceux qui ont des aptitudes ou des biens matériels extraordinaires peuvent être tentés d’avoir une trop haute opinion d’eux-mêmes. Nul besoin, toutefois, d’être étonnamment intelligent, fort ou riche pour désirer s’approprier le mérite de ses réalisations. Toute réalisation, quelle qu’en soit l’importance, comporte en elle-même une question : À qui en reviendra le mérite ?

Le jardin de Dieu

Au printemps dernier, je me suis fait un jardin de fines herbes, bien que je n’aie pas le « pouce vert ». Ainsi, j’arrosais les plantes lorsque leur environnement atteignait des conditions de grande sécheresse. Toutefois, c’est avec joie que j’ai pu cuisiner avec le fruit de mon labeur pendant l’été. Un an plus tard, par contre, j’ai jeté un…

NOURRITURE POUR LE COEUR

J’aime beaucoup la nourriture ! J’aime qu’elle soit bien présentée et savoureuse. Si cela dépendait de moi, je mangerais souvent plus qu’à ma faim, même si ma silhouette devait en pâtir ! C’est donc une bonne chose que ma femme, Martie, sache me rappeler avec amour de manger sainement et avec modération.

Pardonner et oublier ?

Sergei confie à son pasteur : « Deux ans sont passés depuis que Danica m’a trompé et la blessure n’est toujours pas fermée. Certains jours, j’arrive à l’oublier, mais la douleur refait surface subtilement, prête à exploser à tout moment. Par exemple, pendant un repas au restaurant, le chagrin et la colère peuvent refaire surface et engendrer du mépris. Comment…

Ne vous arrêtez pas

Il a été seul pendant la majeure partie de son ministère. Il semble que personne ne se souciait d’écouter ses paroles. On l’a forcé à vivre ses derniers jours en exil. Sa vie a été un échec selon les standards du monde en matière de réalisations. Son nom était Jérémie (alias « le prophète pleurnichard »).

LE DÉFI DU CONFINEMENT

À 86 ans, Ken Deal a conclu un ministère de bénévolat en milieu carcéral de plus de trois décennies par un dernier sermon dominical. Le message qu’il a alors adressé aux détenus portait sur la nécessité de servir le Seigneur durant leur incarcération. Plusieurs des exemples dont il s’est servi venaient des prisonniers, dont certains purgeaient des peines à perpétuité. Dans un lieu que tout le monde souhaite quitter, il les a encouragés à grandir et à annoncer la bonne nouvelle de Jésus-Christ.

LA CONSTRUCTION ROUTIÈRE

Ici, au Michigan, nous plaisantons en disant que nous avons deux saisons : l’hiver et la construction routière. Nos durs hivers endommagent les surfaces routières, si bien que des équipes en amorcent la réparation dès le dégel. Même si l’on parle de « construction », ce travail ressemble plus à une « destruction ». Dans certains cas, il ne suffit pas de remplir des nids de poules. Il faut remplacer l’ancienne route par une nouvelle.

SAVOIR DIGÉRER LA PAROLE

Le roi James est célèbre pour la traduction anglaise de la Bible qui porte son nom. Cependant, vers la même époque que la parution de cette traduction, il a également fait imprimer The Book of Common Prayer ( Livre de la Prière Commune ). Encore utilisé de nos jours, ce guide d’intercession et d’adoration renferme une prière merveilleuse servant à l’assimilation de la Bible : « Bienheureux Seigneur, qui a écrit toutes les saintes Écritures pour notre apprentissage : accorde-nous […] de les entendre, de les lire, de les marquer, de les apprendre et de les digérer, afin que, par la patience, et la consolation de [ta] sainte Parole, nous puissions accueillir la bienheureuse espérance de la vie éternelle et y rester attachés pour toujours » ( traduction libre ).

NOUS AVONS BESOIN D’ESPOIR

Adam et Ève n’avaient pas besoin d’avoir de l’espoir puisque tous leurs besoins étaient comblés. Par ailleurs, ils avaient toutes les raisons de croire que leur vie se poursuivrait de manière aussi agréable qu’elle avait commencé, à jouir de toutes les bonnes choses que Dieu leur procurait. Ils ont cependant tout risqué pour obtenir la seule chose dont le serpent a dit que Dieu les privait : la connaissance du bien et du mal (Ge 2.17 ; 3.5). Ainsi, lorsque le serpent est venu leur faire une offre, Ève s’est empressée de l’accepter et Adam de l’imiter (3.6). Ils ont ainsi obtenu ce qu’ils voulaient : la connaissance. Cependant, la perte de leur innocence a entraîné le besoin d’espoir – celui de voir leur culpabilité et leur honte disparaître, ainsi que leur bonne relation avec Dieu être restaurée.