Tag  |  offrandes

Le don du don

Un certain pasteur a donné vie à l’expression « Il te donnerait sa chemise » en lançant ce défi à son Église : « Qu’adviendrait‑il si vous donniez le manteau que vous portez à une personne démunie ? » Puis il a enlevé son manteau et l’a déposé à l’avant de l’église. Des dizaines d’autres l’ont imité. Or, cela se passait en hiver, si bien que leur retour à la maison s’est avéré moins confortable ce jour‑là. Par contre, pour des dizaines de personnes démunies, la saison s’est un peu réchauffée.

Tout donner

Durant son seul discours inaugural en tant que président des États‑Unis, John F. Kennedy a lancé le défi suivant aux Américains : « Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais ce que vous pouvez faire pour votre pays. » C’était là un rappel de la nécessité de donner leur vie en sacrifice et au service d’autrui. Ses paroles ont particulièrement inspiré les fils et les filles des hommes et des femmes qui avaient servi leur patrie sous les drapeaux.

DES TOMATES GRATUITES

En mettant les sacs d’épicerie dans le coffre de ma voiture, j’ai jeté un coup d’œil à celle d’à côté. Par la vitre arrière, j’y ai vu des paniers remplis de tomates bien mûres – reluisantes, pulpeuses et plus belles que celles du marché. Lorsque la propriétaire du véhicule est apparue peu après, je lui ai dit : « Quelles superbes tomates vous avez là ! » Elle m’a répondu : « La récolte a été bonne cette année. Aimeriez-vous en avoir quelques-unes ? » Surprise par sa générosité, j’ai accepté avec plaisir. Elle m’en a donné plusieurs, qui se sont révélées être aussi bonnes au goût que belles à voir !

CORRIGEZ-LES

La thérapeute et mère Lori Gottlieb dit que les parents qui sont obsédés par le bonheur de leurs enfants risquent de contribuer à ce qu’ils deviennent des adultes malheureux. Ces parents dorlotent leurs enfants, ne les préparent pas à faire face au monde réel, ferment les yeux sur leurs mauvais agissements et négligent de les corriger.

LE PLATEAU À OFFRANDES

Ed Dobson, mon ancien pasteur, disait souvent qu’il lui était désagréable de prêcher sur la nécessité de donner financièrement à l’Église. Il disait que son emploi antérieur exigeait des campagnes de financement, si bien qu’il lui déplaisait d’exercer des pressions inutiles sur les gens. Cependant, en enseignant toute l’épître de 2 Corinthiens, rendu aux chapitres 8 et 9, il n’a pu éviter le sujet. Ce dont je me souviens le mieux de son sermon, c’est l’illustration qu’il a employée. Il a placé un plateau à offrandes par terre, est monté dessus et y est resté en parlant de l’importance de nous donner en entier au Seigneur, et non uniquement notre portefeuille.