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Quand les blessés blessent

Je gardais deux enfants de cinq ans pendant que leurs mères étaient parties faire les courses. Ils s’amusaient bien jusqu’à ce que l’un d’eux lance involontairement une balle sur le nez de l’autre.

La tour de… livres

Marta Minujin avait construit une sculpture haute de 25 mètres représentant la Tour de Babel à la place San Martin à Buenos Aires. Cette artiste avait utilisé plus de 30 000 livres donnés, écrits dans presque toutes les langues du monde. À l’intérieur de la tourelle, les visiteurs pouvaient entendre un enregistrement de la voix de Minujin prononcer le mot livre en plusieurs langues. Elle a dit que sa mission consistait à « unir tous les peuples ».

L’IMAGE MÊME DE L’HUMILITÉ

Pendant la période de Pâques, ma femme et moi avons assisté à un culte d’adoration durant lequel les participants ont cherché à illustrer les événements que Jésus et ses disciples ont vécus la veille de sa crucifixion. Les membres du personnel de l’Église ont alors lavé les pieds de certains des bénévoles de leur Église. En les regardant faire, je me suis demandé ce qui démontrerait le plus d’humilité de nos jours : laver les pieds d’une personne ou se faire laver les pieds par quelqu’un. Tant ceux qui servaient que ceux qui se faisaient servir manifestaient de l’humilité.

Méfiez-vous !

Dans son livre Les fondements du christianisme, C. S. Lewis a écrit : « Il y a un vice dont aucun homme au monde n’est exempt […] Il n’existe pas de faute qui rende un individu aussi impopulaire et aucune autre dont il soit plus inconscient. Plus ce vice est important chez nous, plus il nous dégoûte chez les autres. » L’avez-vous deviné ?
L’orgueil.

BAISSER LES YEUX

Après que j’ai subi une chirurgie ophtalmologique mineure, l’infirmière m’a dit : « Ne baissez pas les yeux au cours des deux prochaines semaines. Ne faites ni cuisine ni ménage. » La dernière partie de ces directives étaient un peu plus facile à accepter que la première ! Les incisions devaient guérir, et elle ne voulait pas que je leur impose de pressions inutiles en baissant les yeux.

L’ARROGANCE ET L’ORGUEIL

Dans le livre de C. S. Lewis intitulé Les Tactiques du diable , un diable d’un certain âge encourage son jeune protégé à détourner de Dieu ses pensées chrétiennes pour les faire porter plutôt sur les fautes des gens qui l’entourent à l’église.

LE DÉFAUT TRAGIQUE

En littérature, le défaut tragique constitue un trait de caractère à l’origine de la chute du héros ou de l’héroïne de l’histoire. Cela s’est confirmé dans le cas d’Ozias, qui fut sacré roi à l’âge de 16 ans. Pendant de nombreuses années, il a suivi Dieu ; chemin faisant, Dieu lui a accordé un succès énorme (2 Ch 26.4,5). Par contre, les choses ont changé lorsque « [sa] renommée s’étendit au loin, car il fut merveilleusement soutenu jusqu’à ce qu’il soit devenu puissant. Mais lorsqu’il fut puissant, son cœur s’éleva pour le perdre » (v. 15,16).

POUR UNE FOIS

Quand j’étais petit, je me promenais en chariot guidé par une corde. Une fois, tandis que je me propulsais dans l’entrée, la mise en garde de mes parents m’est venue à l’esprit : « Vérifie toujours s’il y a des voitures qui circulent dans la rue », mais je me suis dit : Ce n’est pas grave si je ne le fais pas pour une fois. Puis j’ai entendu le crissement des pneus d’une voiture s’immobilisant de manière abrupte pour éviter de me heurter. D’avoir cru pouvoir enfreindre impunément la règle de mes parents m’avait presque coûté la vie.

RADICALE ET INVERSÉE

Les valeurs du royaume que Jésus est venu établir étaient radicalement différentes de celles de son époque. Les pharisiens et les docteurs de la loi étaient en mal de visibilité et d’importance, comme c’est le cas encore aujourd’hui de beaucoup d’entre nous.

Dans Luc 14, Jésus raconte une parabole destinée à enseigner à ses disciples à ne pas les imiter.…

SIX MOTS DE SALOMON

La revue Smith, une collectivité en ligne qui « célèbre la joie du conteur » a invité ses lecteurs à soumettre un mémoire de six mots pour décrire leur vie. Des milliers de gens y ont répondu par de courtes biographies allant du résumé léger « Douce femme, bons fils – suis riche » au pénible « Soixantaine. Pas pardonné à mes parents. »

En me…