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Le lien de la paix

J’ai envoyé à une amie un courriel de reproches au sujet d’une question sur laquelle nous divergions d’opinion, mais elle n’y a jamais répondu. Avais‑je dépassé les bornes ? Je ne voulais pas aggraver la situation en insistant, pas plus que je ne voulais la voir partir en voyage outre-mer avant que notre différend se soit résolu. Chaque fois qu’elle me venait à l’esprit au cours des jours suivants, j’ai prié pour elle, sans trop savoir par quel moyen rétablir notre relation. Puis un matin, je suis allée marcher dans le parc de notre quartier et je l’y ai vue. Quand elle m’a aperçue, son visage a trahi sa souffrance. Merci Seigneur de me permettre de lui parler, me suis‑je alors dit. Le souffle un peu court, mais en arborant un sourire accueillant, je me suis approchée d’elle. Nous avons alors discuté à coeur ouvert et nous sommes parvenues à régler notre différend.

La paix parfaite

Une amie m’a avoué avoir recherché la paix et le contentement pendant des années. Elle et son mari avaient bâti une entreprise prospère, ce qui leur avait permis de s’acheter une grande maison, de beaux vêtements et de précieux bijoux. Reste que ces biens matériels ne satisfaisaient pas son désir ardent de paix, pas plus que ses relations avec des gens influents ne l’avaient pu. Puis un jour qu’elle se sentait abattue et désespérée, une amie lui a annoncé la bonne nouvelle de Jésus. C’est alors qu’elle a découvert le Prince de la paix et que, du même coup, sa compréhension de la paix et du contentement véritables a changé pour toujours.

Atteindre l’équilibre

C’est l’hiver dans la ville de New York. La température de l’air frôle la congélation. Un homme enfile sa combinaison de plongée et se prépare à surfer sur les vagues de Long Beach, une région au sud de Queens où il vit. Avant d’entrer dans l’eau, il médite sur les dangers à éviter et prie les dieux de l’océan. Sur sa planche de surf, une création hawaïenne de 2,7 mètres, se trouve une photo de son gourou spirituel maintenant décédé. L’homme dit que l’image lui procure « l’équilibre ».

Deux portraits

Serrant bien fort deux photos, la grand‑mère empreinte de fierté les a montrées à ses amies dans le vestibule de l’église. La première montrait sa fille dans son pays natal du Burundi. La seconde montrait son petit‑fils, à qui sa fille venait de donner naissance. Par contre, sa fille ne tenait pas son nouveau‑né dans ses bras, car elle était morte en couche.

Soyez en paix

Il y a peu de temps, je me trouvais dans un cercle de dirigeants de notre Église lorsqu’une femme a ouvert une discussion enrichissante en posant cette question : « Quels sont vos espoirs pour notre Église ? » Plusieurs réponses étaient possibles puisque notre petite communauté espère en de nombreuses choses. Toutefois, ce soir-là, j’ai laissé échapper ceci : « Je souhaite que nous apprenions davantage à résister à l’angoisse de notre monde en croyant que Jésus est avec nous et qu’il est en train de faire quelque chose avec nous. »

Éclairs et tonnerre

Il y a plusieurs années, un ami et moi pêchions dans des étangs à castors quand il s’est mis à pleuvoir. Nous nous sommes alors abrités dans un bosquet de peupliers. Comme la pluie ne cessait de tomber, nous avons décidé de mettre fin à notre journée de pêche et sommes retournés à la camionnette au pas de course. Or, je venais tout juste d’ouvrir ma portière lorsqu’un éclair s’est abattu sur le bosquet dans une boule de feu très bruyante qui a dénudé les arbres de leurs feuilles et de leur écorce, ne leur laissant que quelques branches fumantes. Puis ce fut le silence.

Annoncer la paix !

Les actualités internationales nous bombardent via Internet, la télévision, la radio et les appareils mobiles, décrivant le plus souvent ce qui ne va pas – crime, terrorisme, guerre et difficultés économiques. Par contre, de bonnes nouvelles envahissent parfois les heures sombres du désespoir – l’histoire de gestes altruistes, une percée médicale ou des pas vers la paix dans des endroits ravagés par la guerre.

Rassemblons‑nous !

Alors que Nicholas Taylor montait à bord d’un train à destination de Perth, en Australie, il s’est pris la jambe en étau entre la plateforme et la voiture. Se voyant incapables de la dégager, les autorités de la station ont coordonné les efforts de près de 50 passagers déterminés à pousser la voiture au compte de trois. En travaillant à l’unisson, ils sont ainsi parvenus à la faire basculer juste assez pour libérer la jambe de Taylor.

Apaiser son âme

Tandis que j’attendais le début d’un concert, mon esprit est retourné à un problème harcelant. Heureusement, cette distraction n’a pas tardé à se dissiper alors qu’un magnifique cantique se traçait un chemin jusqu’au fond de mon être. Une chorale masculine chantait a cappella « Be Still, My Soul » (Sois apaisée, mon âme). Des larmes me sont montées aux yeux pendant que j’écoutais les paroles de cette chanson et que je sentais m’envahir la paix reposante que seul Dieu peut donner :

Reconnaissance et paix

Étant père de quatre enfants, je leur dis ces quatre mots presque chaque jour : « Vous devriez être reconnaissants ! » Je le fais lorsqu’ils refusent de manger leurs légumes au repas ou lorsqu’ils veulent un jouet que « tous » leurs amis ont déjà. Pour mes enfants, et je soupçonne que cela est vrai pour plusieurs d’entre nous, rendre grâce à Dieu est une discipline à acquérir individuellement, la réaction appropriée à ce que Dieu a fait pour nous.