Dans les coulisses
Ma fille a envoyé un texto à une amie dans l’espoir de recevoir rapidement la réponse à une question. Son service de messagerie lui a signalé que son message avait été lu, si bien qu’elle a attendu d’y recevoir une réponse. Au bout de quelques instants à peine, ma fille rechignait déjà. Puis sa contrariété s’est changée en inquiétude, car elle s’est mise à se demander si ce retard signifiait que leur relation s’était détériorée. Une réponse a fini par lui parvenir, et ma fille a alors pu constater à son grand soulagement que leur relation était intacte. Son amie avait tout simplement dû faire quelques recherches pour bien répondre à sa question.
Contemplez-le
À quand remonte la dernière fois où vous avez passé du temps dans le silence à apprécier la beauté de Dieu ? Un certain artiste chrétien croit que la contemplation de sa beauté est nécessaire à la vie chrétienne. L’auteur Joseph Sunde, dans un article de blog intitulé Beauty on a Bike Ride (La beauté lors d’une promenade à vélo), a cité l’artiste Mako Fujimura : « Peut-être la meilleure chose que nous pourrions faire en tant que communauté chrétienne est de contempler notre Dieu et sa création. »
Quelque chose cloche
Le lendemain de la naissance de notre fils Allen, le médecin m’a dit : « Quelque chose cloche. » Notre fils, d’apparence si parfaite, avait un défaut de naissance risquant de lui être fatal et devait être envoyé en avion dans un hôpital situé à 1130 km pour qu’on l’y opère d’urgence.
S.O.S. (Mayday)
Le signal de détresse international « S.O.S. » (Mayday) est toujours répété trois fois de suite, afin de veiller à ce que l’on comprenne clairement l’urgence de la situation qui représente une menace pour la vie. Alors officier radio en chef à l’aéroport Croydon de Londres, Frederick Stanley Mockford a créé ce signal en 1923. Or, ces installations maintenant fermées ont jadis enregistré un grand nombre de départs vers l’aéroport Le Bourget de Paris et d’arrivées en provenance de ce dernier. Selon le National Maritime Museum, Mockford aurait forgé le mot « Mayday » en déformant l’appel à l’aide en français m’aidez.
Deux portraits
Serrant bien fort deux photos, la grand‑mère empreinte de fierté les a montrées à ses amies dans le vestibule de l’église. La première montrait sa fille dans son pays natal du Burundi. La seconde montrait son petit‑fils, à qui sa fille venait de donner naissance. Par contre, sa fille ne tenait pas son nouveau‑né dans ses bras, car elle était morte en couche.
L’attention du jeûne
Il y a plusieurs années, j’étais le pasteur jeunesse d’une Église. C’était plus que je pouvais gérer. Je me suis brûlé rapidement et j’ai eu besoin de passer du temps avec Dieu. J’ai donc organisé une retraite de quelques jours au chalet d’un ami à la campagne.
Prier avec colère
Le film de 1965 Les prairies de l’honneur met en vedette Jimmy Stewart dans le rôle de Charlie Anderson, un père autoritaire de sept enfants qui vit sur une ferme dans la vallée de Shenandoah. L’histoire se déroule durant la guerre de Sécession et explore les thèmes de la guerre, de la famille et de la restauration.
Priez sans cesse
Il y a un peu plus d’un an, j’ai pris la résolution d’être fidèle dans la prière. J’avais commencé l’année du bon pied, mais à mesure que les occupations s’accumulaient, j’ai eu de la difficulté à rester concentré lors de mes prières du matin, et mon corps exigeait plus de sommeil. Bâillement !
Louer malgré la douleur
Kim Nguyen se préparait en vue de son examen de doctorat du Nouveau Testament lorsqu’on lui a appris qu’elle avait besoin d’une chirurgie des yeux. La convalescence devait durer deux semaines, mais six mois plus tard, elle ne voyait toujours pas. Elle avait peur que son rêve d’enseigner la Bible ne se concrétise pas. Comment arriverait-elle à rédiger sa thèse si elle n’était pas capable de voir ? Comment arriverait-elle à rembourser son prêt étudiant ?
La source à laquelle puiser
En août 2010, le monde entier avait les yeux tournés vers un puits de mine situé près de Copiapó, au Chili. Trente‑trois mineurs se sont retrouvés piégés dans une sombre galerie à 700 m de profondeur, ignorant si des secours arriveraient tôt ou tard jusqu’à eux. Au bout de dix‑sept jours, le bruit d’une foreuse leur est parvenu. Les secouristes ont percé un petit trou dans le plafond du puits, suivi de trois autres trous, par lesquels on a pu leur apporter de l’eau, de la nourriture et des médicaments. Les mineurs dépendaient de ces conduits menant à la surface pour accéder au nécessaire à leur survie. Soixante‑neuf jours après l’effondrement de la mine, les secouristes en ont extirpé le dernier mineur pour le mettre en sécurité.