Rassemblons‑nous !
Alors que Nicholas Taylor montait à bord d’un train à destination de Perth, en Australie, il s’est pris la jambe en étau entre la plateforme et la voiture. Se voyant incapables de la dégager, les autorités de la station ont coordonné les efforts de près de 50 passagers déterminés à pousser la voiture au compte de trois. En travaillant à l’unisson, ils sont ainsi parvenus à la faire basculer juste assez pour libérer la jambe de Taylor.
La vie et l’amour
La vie peut être difficile. Parfois, les fardeaux, les déceptions et les incertitudes semblent trop difficiles à porter.
Apathie
En décembre 2011, USA Today a publié un article dans lequel on analysait un groupe d’Américains appelés les « apathiques sur le plan spirituel ». Leur attitude pourrait se résumer à : « Et alors ? » L’article présentait les tristes statistiques suivantes :
Mauvaise foi, bonne foi
Il faut avoir la foi », disent certaines personnes, mais que veulent‑ils dire par là, au juste ? Est‑ce que toute foi est bonne ?
Le verset du jour
Mes trois fils sont devenus grands et ils volent maintenant de leurs propres ailes. J’apprécie donc de plus en plus nos échanges de messages textes. C’est une façon pour moi de rester en contact avec eux. Bien que l’un d’entre eux vive à une heure de route de chez moi, et un autre, à trois heures, nous pouvons discuter des choses de la vie par voie numérique.
On prie pour vous aujourd’hui
Devant une situation qui nous laisse perplexes ou un problème grave, nous demandons souvent à nos frères et soeurs en Christ de prier pour nous. Il est très encourageant de savoir que des gens qui se soucient de nous nous élèvent à Dieu en prière. Que faire, par contre, si vous n’avez pas d’amis chrétiens intimes ? Il se peut que vous viviez dans un endroit où l’on s’oppose à l’Évangile de Christ. Qui priera alors pour vous ?
La note de la grâce
Avec ses yeux bleus illuminés de joie, mon fils m’a montré un papier qu’il avait rapporté de l’école. C’était un test de mathématiques portant une étoile rouge et la note 100 %. En regardant sa feuille d’examen avec moi, il m’a dit qu’il avait encore trois questions auxquelles répondre lorsque son institutrice avait indiqué qu’il ne lui restait plus de temps. Perplexe, je lui ai demandé comment il avait pu alors recevoir une note parfaite. Il m’a répondu : « Mon institutrice m’a donné la note de la grâce. Elle m’a laissé finir le test même si je manquais de temps. »
Lois et grâce
Récemment, des pompiers ont choisi de ne pas aller secourir un homme qui se noyait dans la baie de San Francisco. Selon le chef des pompiers intérimaire qui supervisait l’équipe sur place, l’une des choses qui les a empêchés d’agir est un règlement qui interdit aux pompiers d’entrer dans l’eau. Les secouristes étaient mécontents puisqu’ils voulaient désespérément agir, mais les politiques les en empêchaient. Chercher à obéir avant tout aux règlements est une forme de légalisme, quelque chose qui est trop souvent présent dans nos Églises aujourd’hui.
Le test de la reconnaissance
Comment découvrir la volonté de Dieu sur des sujets épineux ? Un croyant en Jésus commande un verre de vin dans un restaurant alors qu’un autre croit qu’il est mal de consommer de l’alcool. Un chrétien vous invite à voir un film qu’un autre refuserait de regarder à cause de son contenu violent et profane. Comment donc décider ?
Un acte de bravoure
Durant l’été 2015, Hunter (alors âgé de 15 ans) a transporté son frère Braden (8 ans) sur une distance de presque 92 km afin de sensibiliser la population aux besoins des gens atteints de paralysie cérébrale. Comme Braden pesait 27,2 kg, Hunter a dû s’arrêter souvent pour se reposer et permettre à des gens de l’aider à s’étirer les muscles, ainsi que porter des harnais spéciaux pour bien répartir le poids de Braden. À ce sujet, Hunter a dit que, même si les harnais ont contribué à le soulager de son inconfort physique, ce sont ses accompagnateurs qui lui ont été les plus utiles. « Sans tous ceux qui nous ont encouragés par leurs applaudissements et leur marche à nos côtés, je n’y serais pas parvenu. […] J’avais mal aux jambes, mais mes amis m’ont relevé et j’ai pu atteindre mon objectif. […] Sa mère a surnommé "l’exploit de la paralysie cérébrale". »