Les yeux tournés vers l’avenir
Lorsque Rembrandt, grand peintre hollandais, est mort subitement à l’âge de 63 ans, on a trouvé sur son chevalet une toile inachevée. Elle est centrée sur l’émotion qu’a ressentie Siméon en tenant dans ses bras l’Enfant Jésus, que les parents de celui-ci avaient amené au Temple de Jérusalem quarante jours après sa naissance. L’arrière-plan et les détails ordinaires de cette toile sont cependant restés inachevés. Certains experts en oeuvres d’art croient que Rembrandt se savait au seuil de la mort et – comme Siméon – était maintenant prêt à « s’en aller en paix » (LU 2.29).
Difficile à imaginer
Dieu nous aime. Si la plupart d’entre nous le savent, combien d’entre nous le ressentent ? Paul savait à quel point il est difficile de comprendre l’amour de Dieu. Il croyait même qu’une révélation surnaturelle était nécessaire pour entamer le processus (ÉP 3.16,18). L’amour de Dieu est si grand, et notre compréhension si petite. Comment nous serait-il possible d’arriver à saisir l’ampleur de son amour pour nous ?
Surprise !
Pendant plusieurs années, on a cru que le docteur David Livingstone, un missionnaire d’Afrique bien connu, n’avait converti qu’une seule personne, un chef du Botswana nommé Sechele. Puisque Livingstone croyait qu’il avait rétrogradé dans sa foi, il n’avait plus compté sur son influence. Toutefois, il est possible que Sechele ait été en fait l’un des plus grands évangélistes d’Afrique. Des missionnaires venus travailler auprès de la tribu des Zulu Ndebele en 1859 ont été surpris de constater qu’on y pratiquait déjà la prière chrétienne. Sechele leur avait appris à lire la Bible, et plusieurs Bakuenas étaient devenus des croyants en Jésus.
S’entraîner à vivre
J’ai récemment rencontré une femme qui a poussé son corps et son esprit jusqu’à la limite. Elle a gravi des montagnes, elle a affronté la mort et elle a même battu un record Guinness. Elle relève toutefois actuellement un défi bien différent, celui d’élever son enfant handicapé. Le courage et la foi dont elle a fait preuve en escaladant des montagnes, elle les investit maintenant dans son rôle de mère.
Avec nous et en nous
Mon fils venait de commencer à fréquenter la maternelle. De retour à la maison après le premier jour d’école, il s’est mis à pleurer et a déclaré : « J’aime pas l’école. » Mon mari et moi lui avons parlé. « Nous ne sommes peut-être pas avec toi, mais nous prions pour toi. De plus, Jésus est toujours avec toi. »
La vie ou la mort
Au début de 2013, un homme a été arrêté pour avoir volé le cadavre de son père. Ce père bien-aimé âgé de 93 ans était décédé, et son corps avait été déposé dans un cercueil sur un terrain du cimetière, prêt à être enterré. Cependant, le fils du défunt avait d’autres plans en tête. Il a volé le cercueil et l’a ramené chez lui. Pourquoi ? Il espérait que son père ressuscite miraculeusement. Euh ! Cela ne s’est pas produit ! Au lieu de voir la vie de son père restaurée, l’homme a récolté un éventuel emprisonnement et la fin d’un rêve.
L’attente
Nous recherchons tous quelque chose. Que recherchez-vous ? Un emploi, un mariage, la paix familiale ? Imaginez avoir à attendre des siècles avant de voir une promesse s’accomplir, mais qu’il n’y ait aucune preuve qu’elle va réellement se réaliser. C’est sous ce climat spirituel et émotionnel que Jésus est né. Les gens attendaient que Dieu accomplisse sa promesse de restauration par le Messie, mais l’obscurité politique, sociale et spirituelle dissimulait toute preuve que Dieu tiendrait sa promesse. Plusieurs personnes en avaient assez de pratiquer la justice. Pourtant, un homme continuait d’attendre et avait confiance en la promesse de Dieu (Lu 2.25).
Parler à la légère
Je conduisais depuis environ une demi‑heure quand ma fillette, assise sur la banquette arrière, s’est soudainement mise à hurler. En réponse à ma question : « Que s’est‑il passé ? », elle m’a dit que son frère lui avait serré le bras. Il lui avait serré le bras parce qu’elle l’avait pincé. Elle l’avait pincé parce qu’il lui avait dit quelque parole méchante.
Puis-je me prononcer ?
Elihu était fâché. Alors qu’il écoutait la conversation d’un homme souffrant avec ses trois amis, sa colère montait (Job 32.2,3).
Puissance grise
L’artiste hollandaise Yoni Lefevre a créé un projet qu’elle a appelé « Puissance grise » pour démontrer la vitalité de la génération vieillissante des Pays‑Bas. Elle a demandé à des écoliers de sa région de dessiner leurs grands‑parents. Lefevre désirait montrer une « image honnête et pure » des personnes âgées, et elle était d’avis que les enfants pouvaient l’y aider. Les dessins de ces jeunes reflétaient une perspective fraîche et vivante de leurs aînés. On pouvait y voir des grands‑mères et des grands‑pères en train de jouer au tennis, de jardiner, de peindre et plus encore !