Regarder
Maman, regarde-moi ! Un jour ou l’autre, la phrase retentit dans la maison alors que nos enfants essaient de nous impressionner ou font quelque chose de nouveau. Partager nos moments de réussite avec ceux qui croient en nous et qui nous encouragent à chaque effort est fantastique. Dernièrement, alors que mon mari et moi traversions une épreuve de foi dans nos ministères, j’ai pris conscience que Dieu m’appelle à agir de façon à ce que je puisse toujours dire à mes enfants : « Regardez-moi. »
ENSEIGNER PAR L’EXEMPLE
En attendant mon examen de la vue, j’ai été frappé de lire un énoncé dans le bureau de l’optométriste : « Quatre-vingts pour cent de tout ce que l’enfant apprend durant les douze premières années de sa vie, il l’apprend par ses yeux. » Je me suis alors mis à réfléchir à tout ce que les enfants assimilent visuellement par la lecture, la télévision, le cinéma, les événements, leur entourage et l’observation du comportement d’autrui, surtout des membres de leur famille. En ce jour de la fête des Pères, nous nous remémorons souvent la grande influence qu’un père exerce.
LE MONDE REGARDE
Mes amis exerçaient un ministère principalement orienté vers les chrétiens quand une occasion s’est présentée de changer d’emploi et de toucher la vie de milliers d’incroyants. Ils ont décidé de faire ce changement qu’ils croyaient être emballant.
Miroir, miroir
Quand il s’agit d’apparence physique, nous sommes bombardés de conseils de toutes parts. Pour être honnête, ce qui nous est proposé sur les couvertures de magazine, dans les publicités télévisées, ou par les employés de magasin (entre autres) me dérange. On me pousse à rechercher le look parfait.
Ce nom
En 2001, Mark Cuban le propriétaire de l’équipe de la NBA les Mavericks de Dallas a offert 50 000 $ au commentateur sportif de la radio WGN Chicago pour qu’il change légalement son nom pour « Dallas Maverick ». Lorsque Kaplan a poliment décliné l’offre, Cuban l’a augmentée. Il verserait 100 000 $ à Kaplan et 100 000 $ à son organisme de charité préféré s’il acceptait de porter le nom pendant un an. Après mûre réflexion, Kaplan a tenu ferme et a dit « non » à Cuban. Il s’est expliqué : « Cela voudrait dire que je suis prêt à faire n’importe quoi pour de l’argent, et cela me dérange. Mon nom c’est mon droit de naissance. »
De roturier à royauté
Le New York Times estime que trois milliards de personnes ont regardé le mariage du prince William, héritier du trône d’Angleterre, avec Kate Middleton. Si cela est vrai, près d’une personne sur deux sur la planète a regardé le duo bien habillé sceller leur union royale. Même si le nombre réel de spectateurs était probablement moindre, le mariage londonien a tout de même été visionné par des millions de gens partout dans le monde.
Le grand gel
Des scientifiques ont récemment découvert pourquoi le cerveau semble nous « geler » dans la tête lorsqu’on mange de la crème glacée. La vive douleur ressentie est déclenchée par une augmentation du flux sanguin et l’élargissement de l’artère cérébrale antérieure, située au milieu du cerveau, derrière les yeux. Ce phénomène se produit lorsqu’un délice glacé entre en contact avec notre palais et le fond de notre gorge. Comment l’éviter ? Il vous faudra apprendre à apprécier de plus petites bouchées de votre crème glacée préférée.
UN MONDE MEILLEUR
Dans une des bandes dessinées de Peanuts que je préfère, dans laquelle Charlie Brown apparaît, une Lucy toujours très sûre d’elle déclare : « Comment le monde pourrait-il empirer avec moi dedans ? Depuis le jour de ma naissance, le monde s’est nettement amélioré ! »
DOUX TÉMOIN
Il y a plusieurs années, j’ai été hospitalisé après être tombé d’un pont haut de près de 12 m, une chute qui aurait pu me coûter la vie. Durant mon hospitalisation, la femme de mon compagnon de chambre s’est arrêtée pour me dire : « Mon mari vient de m’expliquer ce qui vous est arrivé. Nous croyons que Dieu vous a épargné la vie parce qu’il veut vous utiliser. Nous prions pour vous. »
DOUX PARFUM
Il y a des parfums qui sont inoubliables. Dernièrement, mon mari m’a fait savoir qu’il ne lui restait presque plus de crème à raser. « Je vais t’en acheter », lui ai-je offert. « Pourrais-tu acheter cette marque ? Son parfum me plaît beaucoup. C’est celle-là que mon père utilisait toujours », m’a-t-il demandé, en me montrant la bombe. J’ai souri en me remémorant la fois où un effluve du même shampoing que ma mère utilisait pour me laver les cheveux m’a ramenée en enfance. Chez Tom et moi, ces parfums suscitaient une réaction émotionnelle et évoquaient l’agréable souvenir de gens que nous aimions et qui avaient disparu.