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Vide

L’auteure et psychologue Madeline Levine a rencontré une fille de 15 ans « brillante et avenante, avec des parents aimants mais souvent inquiets et qui faisaient pression sur elle ». Levine a reconnu chez elle l’habillement typiquement utilisé pour dissimuler l’automutilation : un t-shirt à manches longues avec deux trous pour y passer les pouces. Lorsque la jeune fille a relevé ses manches, Levine a vu avec étonnement le mot « VIDE » gravé sur son avant-bras... la tristesse et la confusion personnifiées.

Des larmes et des rires

L’année dernière, lors d’une retraite, j’ai retrouvé des amis que je n’avais plus vus depuis longtemps. Nous avons ri ensemble en savourant nos retrouvailles, mais j’ai aussi pleuré, car ils m’avaient beaucoup manqué.

Jésus pleura

J’étais plongée dans un livre lorsqu’une amie s’est penchée sur moi pour voir ce que je lisais. Presque immédiatement, elle s’est reculée pour me lancer un regard ahuri. « Quel titre lugubre ! » m’a‑t‑elle déclaré.

Prenez courage !

Je me plais à regarder les oiseaux s’amuser, si bien qu’il y a des années, j’ai bâti un petit sanctuaire dans notre jardin pour les y attirer. Pendant plusieurs mois, j’ai joui de la vue de mes amis à plumes en train de se nourrir et de voleter – jusqu’à ce qu’un épervier de Cooper vienne faire de mon refuge pour oiseaux son territoire de chasse privé.

Quelle tristesse ?

Dans la foulée de nombreuses confessions publiques de politiciens déchus, de personnalités sportives et de dirigeants d’entreprises, Paul Wilkes fait référence à la distinction pratique que fait Susan Wise Bauer : « Les excuses sont une expression de regrets : Je suis désolé. Une confession, c’est l’aveu d’une faute : Je suis désolé d’avoir commis une faute. J’ai péché. » Elle continue ainsi : « Les excuses sont adressées à un public. Les confessions impliquent un changement intérieur… qui se manifeste par des actions visibles. »

Les larmes d’un adolescent

Assis avec quatre adolescents et un sans‑abri d’une vingtaine d’années dans une soupe populaire de l’Alaska, j’ai été touché de voir la compassion dont les adolescents ont fait preuve à l’égard de cet homme. Ils l’ont écouté parler de ce qu’il croyait, puis ils lui ont gentiment présenté l’Évangile – en lui offrant avec amour de l’espoir en Jésus. Malheureusement, cet homme a refusé d’envisager l’Évangile avec sérieux.

Il entend nos pleurs

Vous êtes-vous déjà senti comme si personne n’était là pour vous aider alors que vous passez par une période difficile et éprouvante ? Ces paroles du roi David reflètent peut-être ce que vous ressentez : « Jette les yeux à droite, et regarde ! Personne ne me reconnaît, tout refuge est perdu pour moi, nul ne prend souci de mon âme » (Ps 142.5).

Don des larmes

Àla mort de sa mère, j’ai téléphoné à un ami de longue date. La défunte avait été proche de ma mère, et les deux avaient maintenant disparu. Au cours de notre conversation, l’émotion nous a facilement submergés – des larmes de tristesse maintenant que Beth n’était plus et des larmes de rire tandis que nous nous remémorions la personne aimante et amusante qu’elle était.

L’espoir vit

Lorsqu’une tragédie indescriptible brise la vie d’une personne, celle‑ci cherche à y donner un sens. Un jour, une mère ayant perdu son adolescent m’a dit : « Je n’y comprends rien. J’ignore si je peux encore avoir la foi. J’essaie, mais Dieu n’a plus de sens à mes yeux. Qu’est‑ce que tout ça veut dire ? » Il n’y a pas de réponses faciles à ces grandes préoccupations. Par contre, pour ceux qui ont mis leur foi en Christ, il y a de l’espoir – que nous nagions dans les bénédictions ou que nous nous noyions dans le chagrin.

Des souffrances qui ont un sens

J’ai demandé à plusieurs de mes amis quelle avait été l’expérience la plus pénible de leur vie. Ils m’ont répondu notamment la guerre, une opération et la perte d’un être cher. Voici ce que ma femme m’a répondu : « La naissance de notre premier enfant. » Son accouchement, dans un hôpital militaire isolé, s’est avéré long et difficile. En y repensant, toutefois, elle considère cet événement joyeux, « car ses douleurs avaient un sens ».